CPC Magazine (French) Issue 006

LA REVUE DES UTILISATEURS D AMSTRAD

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n°6

Edîto 7

Cherry Paint 8

Courrier et nouvelles 15

Vitrine du libraire 18

Banc d'essai des logiciels 20

Les logiciels d'Outre-Manche 22

Les tableaux DIM 24

La souris AMX 28

Kilobyte 30

Un magnétophone à l'essai 32

Essai imprimante MT 80S 33

Essai U DOS 35

Essai SEMWORD 38

AMSTUS : le tableur 40

Traceur de graphiques 46

Trucs et astuces 52

Initiation à l'assembleur 53

Le coin bidouille 55

Un jeu : Trafalgar 60

Petites annonces 64/66

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I Revue des utilisateurs d'Amstrad
10. Avenue du Général de Gaulle

| 3S170 BRUZ

99.52.98.11

I Télex : 741 042 F
CCP RENNES 794.17 V

Rédacteurs en chef
Marcel LE JEUNE
Denis B0NOM0
Photocomposition

FIDELTEX

Maquette

Jean-Luc AULNETTE
Patricia MANGIN

Distribution NMPP
I Dépôt légal à parution

Copyright 1985
| Publicité

IZARD CREATIONS
66, rue Saint Hélier,
| 35100 RENNES
M.: 99.31.64.73

PC est un mensuel édité par la Sari

ORACOM, expirant le 22 septembre

079. au capital de 50 000 francs.

| S FAUREZ en est le gérant, représen-

n légal. L'actionnaire majoritaire est

rence MELLET.

I Code APE : 5120

I Distribuée en Belgique et e

I CPC est une revue mensuelle totale-
I ment indépendante d'AMSTRAD IGB)
t d'AMSTRAD FRANCE

TORIAL

ATTENTION, DANGER !

AMSTRAD, c'est bien beau, ça marche et ça peut rappor-
ter gros ! D'accord, mais attention aux embûches.
Les Associations et /es clubs naissent çà et là. L "idée de
faire une exposition arn've vite parfois avec l'idée de "faire un
peu d'argent".

Seulement n 'organise pas une exposition qui veut, et les profes-
sionnels souhaitent, mettez-vous à leur place, savoir de quoi if
retourne.

Nous avons présenté, le mois dernier, la publicité pour AMSTRAD
EXPO, organisée par l'A. P.C. Cette Association a, semble-t-il,
trouvé en face d'elle une autre équipe, professionnelle, équipe
qui a déposé le titre "Amstrad Expo" le 4 novembre, ceci avec
la bénédiction d'AMSTRAD France, et organise une rencontre
commerciale fin janvier (nous y serons).

Au moment où nous mettons sous presse ce numéro, nous ne
savons toujours pas si AMS'EXPO (son nouveau nom) se tien-
dra bien début décembre.

Nous pensons utile de mettre en garde les candidats à l'organi-
sation de manifestations commerciales. Qu 'Us n 'hésitent jamais
à se renseigner avant d'agir. Ils éviteront ainsi de nombreux déboi-
res.

LONDRES

2' AMSTRAD
COMPUTER SHOW

Hôtel NOVOT EL- HAM MER SMITH |

Samedi 11 janvier 86 de 10 a 18 h
Dimanche 12 janvier 86 de 10 à 17 h

Organisé par notre confrère
"Computing with the Amstrad"

>upon àjol
à toute
correspondance

Pascal HIGELIN

an$ co socond articlm consacré à Cherry-Painf, nous
affons voir comment animer dos icônas sur l'écran
do ('AMSTRAD, tanë qu'if n'y ait aucun cfignote-
monf, mais fout d'abord, if va falloir créor cos icônos...

cer cette forme, il suffira de faire un
deuxième masquage en XOR, donc
pour déplacer la forme, il suffit de
deux masquages ; le premier mas-
quage en XOR à l'endroit de départ
pour effacer la forme, le deuxième
masquage en XOR à l'endroit d'ar-
rivée pour réafficher cette forme.
Cette méthode est très rapide maïs
n'est pas très belle : tant que la
forme se déplace sur un fond uni,
tout va bien, maïs dès qu'elle passe
sur un objet, on ne voit plus rien
(c'est le même effet, lorsque dans
Sorcery, le sorcier passe sur vr>9
porte, ou dans Jane sur Apple).
Dans l'autre solution, il faut d'abord
sauvegarder le fond à l'endroit où
on va placer la forme, dons un buff-

Pour animer une forme sur l'écran,
il y a plusieurs possibilités : la pre-
mière solution consiste à redéfinir
des caractères et à les afficher à l'en-
droit désiré à l'aide d'un langage tel
que Basic ou Pascal. Vous avez cer-
tainement déjà expérimenté cette
méthode... et constaté que c'était
épouvantablement lent et saccadé I
La deuxième solution consiste à
écrire les routines d'animation en
assembleur : là, pas de problèmes,
ça va vite. Pour les routines en
assembleur, il y a de nouveau deux
possibilités pour dessiner une
forme : la première de ces solutions,
aui est aussi la plus commune, est de
faire un OU exclusif (XOR) entre le
fond et lo forme à animer. Pour effa-

fer, puis on pourra masquer le fond
en OR avec la forme : on obtient
alors une forme noire qui se super-
pose à l'image.

Pour déplacer la forme, il faudra
donc d'abord recharger l'ancien
fond ; pour cette solution, on aura
donc trois opérations au lieu de
deux, mais c'est beaucoup plus joli I
Pour le programme Cherry-Paint,
cette deuxième solution n'est pas
tout à fait satisfaisante non plus. Pre-
mièrement, toutes les icônes
devraient être noires, deuxième-
ment, si une icône se déplaçait sur un
fond noir, on ne pourrait plus la
voir I

Pour pallier à ces inconvénients, il
faut faire un masquage AND pour
forcer une zone à zéro avant de
faire le masquage OR.
On s'arrangera pour que le masque
AND soit légèrement plus grand que

le masque OR : de cette manière, on
crée un liseret blanc autour des icô-
l nés. En définitive, pour déplacer une

forme, il faudra donc effectuer qua-
tre opérations :

1 — charger l'ancien fond pour effa-
| cer la forme,

2 — sauver le fond de l'endroit où
se trouvera la forme,

3 — masquer AND,

4 — masquer OR.
Si on utilise ce procédé tel quel,
l'animation des icônes ne sera pas
de bonne qualité. Comme on effec-
tue les quatre opérations précéden-
tes à n'importe quel moment, on ris-
que fort bien d'effacer la forme juste
avant qu'elle ne s'affiche sur le moni-
teur ; on aura, par conséquent, un
clignotement incessant I
Pour éliminer un clignotement, il faut
afficher la forme pendant que le spot
vidéo remonte de la dernière ligne
d'une trame vidéo à la première
ligne de la trame suivante, car pen-
dant ce temps, le spot est éteint.
Pour effectuer cette synchronisation,
il y a de nouveau deux solutions :

— on peut utiliser la routine système
en 4 BD19. Cette routine attend le
signal de fin de trame émis par le
processeur vidéo. Le défaut de cette
méthode est que, lorsqu'on attend la
fin de trame, on ne fait rien d'autre,
donc on perd une grande partie du
temps de calcul ;

— il est beaucoup plus intéressant,
dans notre cas, d'utiliser une routine
d'interruption synchronisée avec le
retour du spot car, dans ce cas, la
routine de déplacement d'une icône
devient totalement indépendante du
programme principal et il suffit de lui
fournir la position de l'icône, pour
qu'elle s'y déplace instantanément
et sans clignotement I
Mais il y a encore un problème qui
risque d'apparaître : dans le cas où
les routines d'affichage sont trop len-
tes, le dernier masquage risque de
ne pos être terminé lorsque s'affiche
le haut de l'écran et, lorsqu'on
déplace l'icône à cet endroit, on ris-
que de la voir disparaître partielle-
ment I

Il est donc nécessaire d'écrire les
routines de masquage les plus rapi-
des possibles.

Etant donné que le programme
Cherry-Paint fonctionne en mode 2,
chaque icône a huit représentations
différentes. Là encore, il y a deux
méthodes pour obtenir ces huit

représentations :

— dans le premier cos, il n'y a
qu'une représentation en mémoire,
les autres étant obtenues, lorsque
c'est nécessaire, par rotations suc-
cessives des octets de cette première
représentation. Dans le cas extrême
où il est nécessaire de déplacer la
représentation de 4 bits, le temps de
calcul devient prohibitif ;

— Dans le deuxième cas, qui est
celui utilisé pour Cherry-Paint, tou-
tes les représentations sont en
mémoire, la routine est alors très
rapide, par contre, beaucoup de
mémoire est utilisée pour stocker les
formes. Les huit représentations sont
décalées de 1 bit chaque fois par
rapport à la précédente ("pré-
shifted shapes" en anglais).

Le stockage en mémoire et les déca-
lages successifs des différentes for-
mes sont effectués par le premier
programme Basic. Ce programme
est formé de quatre parties :
Lignes 1000 à 5190
C'est la table des masques, pour
chaque icône, on a d'abord le mas-
que AND puis le masque OR. Les six
derniers masques sont les différentes
formes de pinceaux.
Lignes 5200 à 5700
Initialisation et remplissage de la

<»k^>

mation. Pour ce faire, je vous pro-
pose un chargeur hexa (deuxième
programme Basic) qui comporte des
sommes de test pour chaque ligne
introduite : si le total calculé ne cor-
respond pas à la somme de test, il
vous demandera de réintroduire la
ligne fautive. Pour chaque ligne, il
y a donc 8 nombres hexa et une
somme de test à introduire.
Lorsque les deux parties du code
machine sont introduites, vous pour-
rez tester le bon fonctionnement du
programme en tapant et en exécu-
tant le troisième programme en
Basic, mais auparavant, assurez-
vous que votre disquette contient les
fichiers : SCR.BIN, TR.BIN (ces
fichiers ont été créés par le premier
programme Basic de ce mois).

QUELQUES CONSEILS

Si vous possédez un moniteur cou-
leur, je vous conseille de faire POKE
&80CB,13:POKE &80CC,13 pour
changer la couleur.
Pour adapter le programme à une
manette de jeux : POKE &8233,72:
POKE &824B,73:POKE 88269,75:
POKE 48281,74.

J

table qui contient les adresses des

tables de formes.

Lignes 5710 à 5960

Remplissage de la table des formes.

Lignes 5970 à 6280

Rotation des masques à droite 7 fois

et stockage en mémoire.

Pour pouvoir faire fonctionner

Cherry-Paint, il va falloir introduire

le code hexa du programme d'ani-

1010 ' LA TABLE DES "ORMES EST EN TiATA'

1020 '

1G3D '

1040 DATA 2.16.3

1050 ■

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Respectez les règles du courrier
des lecteurs, si vous désirez obte-
nir une réponse, personnelle ou
par la revue. N'oubliez ni le cou-
pon réponse découpé dans CPC,
ni votre étiquette d'abonné (si
vous l'êtes), ni l'enveloppe tim-
brée pour la réponse (si vous
n'êtes pas abonné).
D'autre part, il est inutile de nous
soumettre un listing pour que
nous vous aidions à y rechercher
vos erreurs : nous n'avons pas le
temps de le faire.
Plusieurs lettres sur le même
thème : "J'ai écrit un programme
super, qui dit Papa-Maman...
Puis-je vous l'envoyer ?"
La réponse est : oui ! Ne deman-
dez pas sans cesse la "permis-
sion" ou notre avis. Envoyez
votre programme sur cassette ou
sur disquette, accompagné d'un
texte explicatif manuscrit. Npus
testerons vos réalisations et
publierons les meilleures.
N'oubliez pas qu'il y a un abon-
nement gratuit pour la première
publication, ou une participation
rémunérée.

Tout dépend de ce que vous nous
envoyez...

Ne nous écrivez pas, non plus,
pour avoir des cours particuliers
et nous décrire comment pro-
grammer et animer des Sprites,
colorier une surface ou gérer
votre discothèque... Le courrier
des lecteurs ne peut être une
seconde revue ; sa raison d'exis-
ter est de vous aider à résoudre
de petits problèmes ou répondre
à des questions précises concer-
nant des articles déjà publiés
dans CPC.

Un dernier mot : pas d'étiquette
d'abonné (si vous êtes abonné)
ou pas d'enveloppe affranchie
seif-adressée (si vous n'êtes pas
abonné) et de coupon réponse
égal pas de réponse. Ne l'oubliez
pas !

Guy PICOU

46 LA CHAPELLE-MARIVAL

Comment récupérer un pro-
gramme dont le chargement est
incomplet, du fait de /'apparition
d'une erreur de type "Read Error
a" (ou b) ?

Nous ne connaissons pas la solu-
tion qui permettrait de récupérer
un fichier "inachevé" et, bien
que cela ne semble pas facile à
résoudre, la solution a peut-être
déjà été trouvée par un de nos
lecteurs. Nous ne manquerons
pas de la publier si elle nous par-
vient.

André BAROTTE
49 SAUMUR

Faut-il revendre le 464 pour ache-
ter le 6128 ou vaut-il mieux
l'équiper d'un drive et d'une
64 k ?

La question est résumée ici.
Notre lecteur, dans sa lettre, se
faisait l'écho des nombreux cour-
riers reçus sur ce thème, et nous
allons tenter d'y répondre. Le
6 1 28, par son avance technolo-
gique, a surpassé les 464 et 664.
Il faut savoir néanmoins que les
avantages d'un 61 28 (fonctions
nouvelles, Bank Manager) ne
pourront pas être obtenues sur
un 464, fût-il équipé d'un drive
et des 64 k supplémentaires...
Si seuls le gain d'espace mémoire
et les services rendus par un drive
vous séduisent, leur simple
adjonction au 464 devrait vous
satisfaire. C'est aussi un bon
moyen pour ne pas perdre trop
d'argent avec une revente en
occasion... Si, par contre, vous
désirez bénéficier des fonctions
nouvelles, vous n'aurez pas le
choix : il faudra changer de maté-
riel... à moins qu'un constructeur
ne nous fabrique sous peu un kit
d'adaptation bon marché !

cPc

èij_?o BRuz.

Pascal BERGE
92 M EU DON

Pourquoi ne pas tester les diffé-
rents 64 k du marché ?
Rassurez-vous, ça vient ! Le pro-
blème est que la place disponible
dans CPC n'est pas extensible à
souhait. Il existe un sacro-saint
rapport entre rédaction ne) /pub et
coût de revient pour un nombre
de pages donné.

Julien CAMPOS
40 TY ROSSE

Les mylars, qu'est-ce que
c'est ?

Bonne question ! Elle nous a d'ail-
leurs été posée à plusieurs repri-
ses. Les mylars sont des films
servant à insoler, par un procédé
photographique, les plaques
d'époxy présensibilisées. Le
résultat de cette manipulation
est, après gravure au perchlorure
de fer, un circuit imprimé. C'est
le seul procédé valable pour réa-
liser des circuits à forte densité
de pistes. Bien entendu, il ne peut

ICI propose logiciels
professionnels sur disquelles.

ICITEXTE : mixoge de 2 célèbres Traite-
ment de texte avec mailing 590 F.

ICITAB : tableur performant el interactif
avec ICITEXTE. Consultation simultanée de
3 tableaux à lécron.

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facturation

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ICICOMPTAB 3 ■ comptabilité (accès
direct) 1000 comptes 100 joumoux 8000

ICI INFORMATIQUE

2, rue du Pont -des- Tanneries
21000 DIJON -Tél. 80.45.13.69

être utilisé que par des gens dis-
posant d'un minimum d'équipe-
ment et de savoir-faire.
Ne faites pas comme ce lecteur
qui, recevant ses mylars, les a
grattés en pensant avoir affaire à
des "transferts". Dommage !

Nous avons eu un petit problème
avec le schéma de l'adaptation
PERITEL que nous proposions
dans CPC n° 4, ce qui nous a
valu pas mal de courrier et d'ap-
pels téléphoniques.
Voici le câblage correct à effec-
tuer entre PRISES AMSTRAD et
PERITEL.

| au 73.36.88 65 entre 17 et 19 h.

Le + 5 V de l'alimentation sépa-
rée va en 16 de la PERITEL. La
masse de l'alimentation va en 18.
Précisons aussi que le son, sor-
tant du jack stéréo AMSTRAD,
pourra être envoyé vers la PERI-
TEL, à travers un câble blindé
deux conducteurs.
Un des conducteurs au point 2 de
la PERITEL, l'autre au point 6. La
masse ira en 5.

Signal

Connact.
Amstrad

Paritsl

Rouge

Vert

Bleu

Synchro

Masse

2
3

4
5

15
11
7
20
17

LES CLUBS

MICROS-DATA
5, av. Joseph Claussat
63400 CHAMALIERES
ORIC et AMSTRAD. Ateliers
informatique et électronique. Ini-
tiation et programmation. Pour
tout renseignement, contacter le
président Jean-Marc FOURVEL

MESSAGE A TOUS LES

AMSTRADISTES :
1 L'AMSTRAO N'EST PAS
I UNE MOUCHE TSE-TSE !

I Le CLUB AMSTRAD de NANTES
I vous ouvre ses portes et ses

diverses activités dans les locaux

de :
1 MICRONAUTE
I 9, rue Urvoy de St. Bedan
| 44000 NANTES

■ (entre musée Dobrée et place de
l'Edit de Nantes)

| Tél.: 40.69.03.58

AMS'CERCLE DE LYON
(Association loi 1901)

Les mercredis à 18 h 30 chez
BLANC-BERNARD (2* étage),
9-11, rue Salomon-Reinach,
59361 LYON,
Tél.: 78.72.25.48, poste 22.

VOTRE ATTENTION S.V.P. !

j Ajustez vos lunettes si vous en

portez et lisez bien ce qui suit

| parce qu'on ne vas pas vous le

■ répéter tous les mois...

] 1 — Il est impératif de joindre au

: courrier le coupon découpé, et

l non photocopié, dans la revue

I (page Editorial, en général) et de

' joindre, soit l'étiquette découpée

sur votre enveloppe d'abonné,

soit une enveloppe affranchie

i self-adressée. En leur absence,

; plus de réponse.

' 2 — Lorsque vous commandez

, une cassette ou une disquette,

n'oubliez pas de préciser son

numéro : Catherine, qui s'occupe

des envois, ne lit pas encore dans

le marc de café pour deviner vos

intentions. Résultats : vos

commandes sont différées et

vous attendez deux semaines de

plus, le temps que les échanges

de courrier soient effectués,

avant de pouvoir admirer les

excellents programmes que nous

vous proposons.

COUP DE FREIN
AU PIRATAGE

S'il est souhaitable, tout au moins
c'est notre avis, que les éditeurs
de logiciels fassent un effort pour
proposer des réalisations d'excel-

lent qualité au meilleur prix pos-
sible (le logiciel familial coûte sou-
vent trop cher... ), il faut égale-
ment que les utilisateurs
comprennent que le piratage est
un véritable fléau qui touche
durement l'informatique familiale.
Le piratage démarre au niveau de
la simple copie, que l'on donne
ou échange contre une autre
copie d'un logiciel convoité. S'il
y a vente, le fait est encore plus
grave... Notre but n'est pas de
faire là le procès des pirates (en
herbe ou organisés), mais de ne
pas contribuer à les aider. Nous
avons donc décidé de refuser, au
fur et à mesure qu'elles nous par-
viendront, les petites annonces
visant à échanger (ou vendre) des
listes ou des copies de logiciels,
des "déplombeurs", etc.
Quelques annonces de ce genre,
déjà maquettées alors que nous
prenions la décision, vont encore
passer dans CPC, mais ce seront
les dernières.

Un conseil donc, n'envoyez plus
de telles annonces, elles seront
systématiquement refusées.
L'auteur d'une petite annonce
s'engagera donc et certifiera
implicitement ne vendre ou
échanger que des logiciels en
emballage d'origine, accompa-
gnés de leurs notices.

AU SECOURS !

A la rédaction de CPC, nous som-
mes littéralement submergés par
l'avalanche de votre courrier
technique. C'est pourquoi nous
vous demandons de nous aider
en écrivant vos lettres de la façon
suivante :

• Posez vos questions une à une
en nous laissant suffisamment de
place pour y répondre directe-
ment sur votre lettre qui vous
sera retournée.

• Essayez de décrire vos problè-
mes le plus clairement possible.
Si votre ordinateur vous annonce
un message d'erreur, spécifiez
bien lequel et en quelle ligne.

• N'omettez pas de joindre une
enveloppe affranchie self-
adressée.

Nous pourrons ainsi gagner du
temps et vous répondre plus rapi-
dement. Merci !

UN LOGICIEL PASSIONNANT QUI
LANCE UN NOUVEAU STYLE DE JEU !!!

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disponible.

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Nous consulter.

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titres FREE GAME BLOT °

A LA VITRINE DU

"MONTAGES, EXTENSIONS ET PERIPHERI-
QUES DU CPC"
SCHÙSSLER
Micro Application
199 F

Amis bricoleurs, à vos fers à souder. Si vous
ne craignez pas de réaliser des interfaces et
que c'est là votre passion, sachez que le prix,
un peu élevé, de cet ouvrage sera compensé

Après quelques rappels de la logique élémen
taire, l'auteur vous propose de réaliser quel

expliquer le principe du décodage d'adresses.
it proposées : à
s convient. Si
projetez de réaliser pli
carte bus bufferisèe >
sont aussi proposés :

grammable, une carte analogique/digitale.
Toutes les réalisations sont proposées avec
les schémas électriques, les plans d'implan-
tation et le tracé des circuits imprimés. Un
testeur logique vient compléter la panoplie et

Complet avec ses 400 pages et unique en
son genre, cet ouvrage devrait ravir tous ceux
qui veulent tirer leur AMSTRAD de son iso-
lement, et lui permettre de dialoguer avec le
monde extérieur.

Pour en savoir plus, il vous faut lire un
ouvrage consacré à CP/M. Parmi ceux qui
sont disponibles, celui-ci a l'avantage de trai-
ter des deux versions qui concernent l' AMS-
TRAD. Il vous permettra de bien comprendre
les subtilités de ce vieux système d'exploi-
tation. De l'utilisateur débutant, qui voudra
simplement connaître l'utilisation de quelques
commandes, au programmeur expérimenté
désirant découvrir la conception interne de
CP/M, chacun y trouvera son intérêt.
La présentation, claire, reprend pour
-être déjà,
amène à la description des différents
utilitaires (l'Assembleur ASM, PIP, etc.).
Adapté au 464, 664, 61 28, ce livre sera une
première étape sur la route des program-
toucher a CP/M. L'étape sui-
passera par de nombreuses manipula-
tions et par la recherche d'un livre beaucoup
plus détaillé sur la structure interne de CP/M.

ARCHAMBAULT par les articles qu'il propose
dans CPC, L'auteur a le goût des produits
finis, bien présentés, structurés, etc. C'est
te à partager dans ce
livre de 140 pages. Ce n'est pas un guide du
Basic : c'est un complément du manuel d'ori-

Concevoir des programmes alliant rapidité,
performances et fiabilité, deviendra désor-
mais possible à tout lecteur ayant si
conseils dispensés par l'auteur, programmeur

Les astuces de programmatioi
posées pourront être réutilisées par chacun,
lors de réalisations personnelles.
Jouer avec les couleurs, manipuler les chaî-
nes de caractères, redéfinir des symboles, fil-
trer les entrées (pour éviter que le programme
ne se plante! sont autant d
nent un aspect "fini" au p

tomber, tout en vous aid
erreurs éventuelles.
Les listings proposés soi
tés sur 40 colonnes. L'ei
t bien structuré..

it à rechercher les

l'être v

( programmes après sa lecture.

TP*

"BASIC AMSTRAD CPC 464 - METHODES
PRATIQUES"

J. BOISGONTIER M B. CESARD
PSI
100 F

Ce livre de 165 pages comporte deux par-
ties : la première explique la prise en main de
la machine puis détaille, exemples à l'appui,
toutes les focntions du Basic AMSTRAD clas-
sées par familles. Ainsi, le chapitre 4 ne traite-
t-il que du découpage des programmes. On
y apprend tout sur les sous-programmes et
les branchements multidirections. Pour cha-
que instruction, on trouve un court pro-
gramme d'application avec la recopie de
l'écran après son exécution. Le chapitre le
plus intéressant est, à notre avis, celui qui
traite des graphismes et des sons. Les peti-
tes routines décrites pourront être incorpo-
rées dans les programmes qu'écrira le lecteur.
La deuxième partie de l'ouvrage contient une
quinzaine de programmes plus longs, mettant
en pratique les instructions étudiées au cours
des chapitres précédents. Dix d'entre eux
sont graphiques et les autres plus utilitaires :
fichier d'adresses, gestion de fichiers auto-
matique, masque de saisie d'écran et biblio-
thèque. Ce livre vient en complément du
manuel livré avec la machine, et le débutant
pourra, pour peu qu'il se donne la peine de
taper les exemples donnés, comprendre plus
facilement le Basic d'AMSTRAD.

BASIC AMSTRAD
CPC 4M

ffifl

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= MERCITEL

FICHE TECHNIQUE SIMPLIFIEE

Microprocesseur Z 80 A DART

ROM 27128 128 K bits

Normes de Sortie RS 232 C

Vitesses programmables de 75 à 9 6O0 baud.

30 Instructions BASIC de TELECOM en RSX
Transmission /Réception de fichiers

Emulation da Terminal
Emulation MINITEL

890 F

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La Sécurité des procédures de
Telecomunication PROFESSIONNELLE
Asynchrone sur votre AMSTRAD
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Tél. 38.72.22.
Code APE 2701

OPUS,

UN EDITEUR HEUREUX !

NORSOFT a vu le jour en janvier
1 984, en pleine période de crise,
ce qui était hasardeux.

Toutefois, la naissance de
TYRANN, jeu sur ORIC-1 et
ATMOS fut un succès et devint
vite le cheval de bataille de cette
jeune société. Depuis, ses logi-
ciels sont adaptés sur AMSTRAD
(et sur d'autres machines) en
français, allemand et anglais.
Depuis 1985, 11 programmeurs
ont rejoint l'équipe. OPUS qui est
le vrai nom de la société (NOR-
SOFT est en fait une marque) dis-
pose d'une structure légère donc
pouvant prendre de rapides déci-
sions.

Fidèle à sa politique, OPUS sou-
haite maintenir ta qualité et sor-
tir de nouveaux produits dont
TYRANN II.

Le siège de la société se trouve
en bord de mer, à Caen. Les

contacts se font plus particuliè-
rement par téléphone, tant avec
les clients qu'avec les program-
meurs.

Rémy GOSSELIN, le gérant, s'oc-
cupe plus particulièrement des
auteurs dans un climat de
confiance, synonyme d'effica-
cité. La confiance est nécessaire
puisque si le projet est bon, la
société n'hésite pas à mettre en
prêt du matériel. Il n'est même
pas rare que la décision soit prise
de financer une partie du projet.
M. WYST RACH s'occupe, lui, de
la programmation, de l'adaptation
et de la traduction.
Extérieur à la société, D. FALUE
a pris en charge le graphisme et
la publicité.

Les auteurs ? J.P. AMET, L.
BLONDEL, J. BRUNET, E. CHE-
VALIER, Th. DURAND, Ch.
HUGEL, Ph. MARTI, G. SAVI-
ARD, P. ALLAIN, E. MASSON,
Ch. TRIBOUILLARD.
Le mois prochain, nous vous pré-
senterons un autre éditeur, celui
de votre revue.

BANC □' ESSAI

"GUTTER"

(ERE INFORMATIQUE)

Si vous en avez assez de jouer les extra-
terrestres solitaires, peut-être voudrez-vous
devenir, pour un temps, une boule d'acier
dévalant uns gouttière ?
C'est le thème de ce nouveau jeu d'ERE.
Vous dirigerez la baballe avec deux touches
du clavier Inon redéfinissables], et il vous faut
écraser (pacifique, hein ?| des "figures
médiévales" (rois, dames et fous), en évitant
les moines qui vous ramènent au début de
la gouttière et les bourreaux qui vous font
perdre la boule (!).

Même si le graphisme est agréable {la pers-
pective du damier du décor avançant est très
bien rendue) et, si l'animation sonore est rela-
tivement bonne, cela ne fait pas pour autant
oublier la monotonie du jeu, Celui-ci est en
effet trop facile, et le difficulté n'augmente
pas beaucoup au cours du jeu.
La boule est dirigée par deux touches, mais
la pesanteur tend à la ramener au centre de
la gouttière. Des objets magiques vous per-
mettent de changer de gouttière lia couleur

du damier extérieur indique la gouttière sur
laquelle vous vous trouvez). Une originalité
cependant : le jeu compte les points comme
un flipper, avec extra-balle et spécial.

de par se simplicité d'emploi e
Graphisme = 3, animation =
intérèt = 2 (1), originalité = 3.

"BUGS-BUSTER"
(FREE GAME BLOT)
En français

Un voyage au cœur de votre ordinateur et
sans perdre la garantie, voilà ce que propose
ce programme. Au fait, pourquoi vouloir exa-
miner le circuit imprimé et ses circuits inté-
grés ? Et bien tout simplement parce qu'il
vient d'être envehi par sept cafards destruc-
teurs de logiciels répondant aux doux noms
de Rob, Rab, Horb, Carb, Song, Grab et
Sicob. Chacun d'eux a sa spécialité : Song,
comme son nom l'indique, détruit les datas

musicales.

correspondant è des ir
Rab efface carrément le i
mémoire RAM. Quelle calamité I Heureuse-
ment, vous êtes là, muni de votre laser et de
votre localisateur de bugs. Vous pouvez
môme placer des trapper s permettant de les

Une idée originale pour un jeu qui, par cer-
tains aspects, ressemble à un "Donjon et
Dragon". L'écran est divisé en fenêtres : à
droite, le plan du circuit imprimé, où un point
clignotant matérialise votre position. Au som-
met de l'écran, nous trouvons la zona de dia-
logue, et au milieu, une représentation en 3D
de ce que vous voyez. Les graphismes en "Fil
de fer" sont un peu sommaires, mais on s'y
retrouve. Nous avons trouvé ce jeu assez
stressant car, pour venir à bout des cafards,
il faut combiner dextérité manuelle et raison-
nement intellectuel. Au début, tout se déroule
si vite qu'on est dépassé par l'ampleur des
dégâts, mais on acquiert vite de l'expérience
et le jeu devient alors plus intéressant.
Graphisme = 3, animation- 3, son = 2.
Intérêt = 3.

"INFERNAL RUNNER"

ILORICIELS)
En français

Le sujet n'est pas très original. C'est le per-
sonnage qui doit trouver les clés pour sortir
de le bâtisse infernale. Il est gâté, le pauvre !
Jugez plutôt : lasers, plaques électrifiées.
monstres, barrières de feu, tapis et escaliers
roulants, bains d'acide, mines, compres-
seurs, herses, etc. Avec, en plus, les culs-
de-sec d'où il ne peut repartir ! Pas facile, ce

egraphisi

En revanche, n . . . .
LORICIELS : dessins de grande fi™
le souci du menu détail, au pixel près ! Ceci
concerne aussi l'animation, jamais saccadée
et toujours réaliste. Par exemple, les positions
et les mouvements du personnage, quand il
grimpe notamment. Autre petite merveille :
les jets de flammes horizontaux, Walt Disney
n'aurait pas fait mieux...
La musique est riche, originale mais à la lon-
gue lancinante.

En bref, de très belles images, mais un jeu
qui, à mon avis, manque un peu d'originalité ;
un super "Manie Miner" avec des tableaux
très variés et des "épreuves" originales.
Graphismes, animation = 5, sort-2
Intérêt = 3.

"EASI AMSCODE"
(AMSOFT)
Utilitaire
149 F

Cet utilitaire s'adresse à tous ceux qui débu-
tent en langage machine et qui cherchent à
en percer les tout premiers secrets. Grâce è
lui, vous écrirez vos tout premiers octets en
langage Z80 et pourrez exécuter vos premiè-
res lignes de programme sous le contrôle
d'un moniteur.

EASI AMSCODE sait charger un fichier lou
sauvegarder], "désassembler" (dommage
que ce soit seulement pas à pas) , c'est-à-dire
produire la liste des mnémoniques correspon-
dants au langage machine, "dumper" le
mémoire sous formes ASCII et hexadécimale,
que le programme soit en RAM ou en ROM .
Il est également possible, et c'est là que les
débutants apprendront beaucoup, de lancer
et exécuter un programme en pas â pas, cha-

Pour être complet, il faut également savoir
qu'EASI AMSCODE permet le sortie de lis-
tings, dumpés ou désassemblés, sur une
imprimante.
Quelques petits points gênants, comme

du menu, ou l'ahsence de désassemblageen
continu, se feront vite oublier des débutants
qui découvriront, avec intérêt, le fonctionne-
ment du ZBO.

Au fait, pourquoi EASI... avec un I ?
Graphisme = 3, Animation = 2, Son = 3,
Intérêt = 3.

"WARRIOR"

(RAINBOW)

Jeu de rôle

160 F

WARRIOR est un jeu de rôle
çeis. Nous avons reçu et es

complète, sera bientôt mise
Les énigmes et graphismes se
Après un générique musical

un dessin de présentation

écrit en fran-
quette, plus
ont différents

n contemplant
appelant une

mélange de graphisme (de type

de texte. Le tout apparaît dans

fenêtre encadrée par un décor un peu

"théâtral", du

bel effet. L'action se

passe dans une

e de labyrinthe, reliant

plusieurs salles

nt de vous y engager,

pour y rechercher

combattre et tenter

d'anéantir GRAVEN,

jn monstre qui terrorise

le pays, vous ferez vo

s petites emplettes chez

le "quincaillier'

du

quoi combattre

pas mal dessinés] qu'il

7«'n"tvÔ°,

po!"

re. Si vous n'êtes pas
ez parlementer ou fuir.

Les combats vo

sts

ont entendre des bruits

suggestifs, tout
topêes apparais

sanl

ant ponctués d'onoma-

Pour les amate

rs d

i ce genre de jeu...

(Anecdote : le rapprochent

RIOR" et de l'éditeur "RAINBOW" avec d€

événements récents est, paraît-il. du plus pi

hasard. La cassette était déjà prête avant le

faits).

Graphisme = 3, animation = 2, son = ;

intérêt = 3.

"3D FIGHT"
(LORICIELS)

En français

Vous pilotez un vaisseau spatial au ras d'une
planète hostile. Du déjà vu ? Pour le sujet oui,
mais pas avec une si belle animation 1 Tout
est soigné, la finesse du graphisme, le son,
la nervosité du joystick. Heureusement, car
il n'y a qu'un seul niveau et il est assez

Vous voyez votre vaisseau de dos et vous le
déplacez dans les quatre directions, tandis
que le paysage fonce sur vous. Cette tech-
nique d'animation rappelle celle de "RALLY
II" (même éditeur) mais en mieux encore.
Vous devez ébattre le maximum d'astronefs

d'être dans leur angle de tir. Attention I cer-

vous prévient, ., Le plus dangereux est la pluie
de météorites, de superbes boules de feu. Un
conseil : mettez-vous dans l'angle en haut à
gauche et laissez passer l'orage 1

Le risque est de tomber en panne de fuel.
Pour éviter cela, il faut détruire des réserves
de carburant au sol (drôle d'idée). On ne peut
les atteindre qu'en mitraillage en rase-motte,
puis en redressant au dernier moment, afin
de ne pas les percuter. Aussi, je placerais ce
logiciel non pas dans les "arcades soucou-
pes", mais plutôt dans les simulateurs de vol,
A mesure que l'on progresse, le paysage Itrès
stylisé) change, Il faut noter que l'animation

Le son est excellent et omni-présent ; pen-
sez à baisser le volume après 22 heures...
Un jeu très "enlevé" qui plaira beaucoup aux

• K, son = 3 à 4.

"ASSEMBLEUR DR. WATSON"
(MICRO APPLICATION)
En français

t un ensemble livre + cassette pour t
S l'assembleur. Le livre, bien épais
e clarté remarquable et s'adressi

Cfur

commençant par les choses simples, assor-
ties de petits exemples très courts. Pour les
mettre en pratique : l'assembleur de la face
A de la cassette. Certes, il n'a pas la puis-
sance du fameux "Zen", mais il a la clarté
du livre. On est obligé de comprendre ! C'est
l'auto-école de l'assembleur. A l'écran, un
menu len français) que l'on peut rappeler à
tout moment ; c'est sécurisant. Il comporte
le strict nécessaire, plus des "planches de
salut" pour débutants.
Les options du menu sont présentées dans
l'ordre chronologique normal ; entrée du
"texte", listage, correction de ligne, assem-
blage, qui signalera les lautes de syntaxe
avec le numéro de ligne, sauvegarde, char-
gement, renumérotation, listage sur impri-

Basic et de revenir au WATSON ; et enfin,
essai par CALL (toujours sauvegarder
avant... ). Signalons un bug de taille dans
l'option imprimante : parfois le listing est
complètement décalé à gauche avec perte de
caractères, C'est dommage et peu pardon-
La lace B de la cassette illustre des petits pro-
grammes présents dans le livre, tels quelques
"RSX" comme CIRCLE, BOX et TRIANGLE
(pas terribles... ).

J'estime que c'est un chef-d'œuvre de péda-
gogie, car expliquer l'assembleur est chose
très difficile si on ne veut pas décourager le
lecteur. L'auteur, Tim HERBERTSON, n'est
pas tombé dans la facilité de la "logique uni-

cer par le comptage binaire ! Il en parle bien
plus tard, et juste ce qu'il faut. Ainsi, c'est
buvable... Le prix de 195 FF pour l'ensem-
ble est, lui aussi, facile à avaler.
Performances = 2, clarté = 5, intérêt = 5.

LOGICIELS^

D'DUTRE-MAIMCHE-

est protégée par des dispositifs anti-intrusion
parmi les plus sophistiqués.
Il faudra les anéantir un par un pour progres-
ser. Heureusement, votre hélico (le plus
moderne qui soitl est armé en conséquence.

Ieus vous proposerons, dans cette rubrique, une sélec
tien mensuelle de logiciels (jeux ou utilitaires) venus
d'Angleterre. Ne croyez pas qu'il vous faudra traver-
ser le CHANNEL pour vous les procurer : ils sont disponibles
en France et pour la plupart importés par GUILLEMOT
INTERNATIONAL SOFTWARE.

"BEACH HEAD"
(ACCESS)
En anglais

Genre wargame, mais un vrai. Enfin ! L'ani-
mation est irréprochable, la jeu est très varié,
les tableaux nombreux et très différents. Le
graphisme est super soigné ef le son est "réa-
liste". Bref, un chef d'oeuvre artistique et
technique, a ranger à la place d'honneur a
côté de Sorcery...

Il s'agit d'un débarquement. Premier tableau :
une carte, vous dirigerez votre escadre, soit
vers l'entrée de la baie, soit vers un étroit
goulet où il faudra se faufiler entre minss et
torpilles. Avantage : vous surprenez l'ennemi.
Deuxième tableau : vous subissez une atta-
que aérienne et vous commandez votre DCA.
C'est mon passage préféré car l'animation est
splendide I Les avions surgissent de l'hori-
zon, deviennent très gros (et détaillés) puis
décrochent en haut de l'écran. On règle notre
DCA en site et azimut. Si vous êtes passé par
le goulet, les avions seront moins nombreux.
Troisième tableau : la bataille navale avec les
bateaux qui vous restent encore. En face, les
bâtiments ennemis I des distances différen-
tes. Vous réglez votre canon avec précision
(en degrés par le joystick). Ce n'est plus du
tir an rafale I Si le coup est trop court, on voit
le "trou dans l'eau", et la distance d'erreur
est indiquée pour corriger le tir. Ce n'est plus
un jeu d'arcade, mais de "pifométrie". Très

Quatrième tableau ; si vous sortez vainqueur
du combat naval, c'est le débarquement.
Chacun de vos navires rescapés {il y en avait
dix au départi débarque deux chars qu'il faut
piloter sur le terrain. On retombe alors dans
le jeu d'arcade. Après cette dure traversée
de casemates, ils arrivent en face de la for-
teresse à détruire. Pas facile d'arriver jusque
le avec suffisamment de chars !
La notice est copieuse, mais elle est hélas en
anglais.

:r chacun à
able (il faut

Le piloter dans le
plus, il faudra tri

Sachant que l 'hélico n'est
constamment agir sur les commandes pour
le maintenir en vol horizontal) et que les gou-
lets sont étroits, nous vous laissons imagi-
ner ta difficulté de l'entreprise.
La réalisation est excellente avec une présen-
tation et des graphismes soignés. Le jeu n'est
pas facile et exaspérera les débutants,
ATTENTION ! le joystick est indispensable !

"AIR TRAFFIC CONTROL"

(HEWSON CONSULTANTS)

Simulation

86 F (cassette)

Tout le monde ci

"AIRWOLF"

(AMSOFT)

Arcades

Support cassette 109 F

Support disque 135 F

Avez- vous déjà piloté un hélicoptère dans i

is contrôleurs de tra-
fic aérien, pour en avoir entendu parler à l'oc-
casion d'une grève ou simplement pour avoir
lu des reportages sur leur travail. Certains ont

conversations avec les pilotes d'avions.
ATC simule le situation d'un contrôleur dans
un grand aéroport : Londres-Heathrow et
Amsterdam- Schi pool.

Simulation très réaliste, ATC vous mettra
dans la peau du contrôleur et vous ressenti-
rez la même tension nerveuse.
Il y a plusieurs niveaux (de 1 à 81 et un démar-
eillé pour s'habituer

n radar de \i

L'écran représ
d'approche av

strips" des volsa>

e ("holding-stock"! où apparai
l'identification radar, le type d'appareil, son
niveau de vol, son cap, sa vitesse. En haut
de l'écran, la zone de dialogue radio sur
laquelle s'affichent les ordres que vous don-
nez aux différents appareils.
Il y a 5 types d'appareils différents, du
Concorde au Navajo, ce qui implique des
réactions différentes à vos ordres.
Le but du contrôleur est de poser 10 avions
en 30 minutes. Vous serez noté sur la rapi-
dité et la sécurité avec lesquelles vous aurez
agi. Pour poser un avion, il faut le mettre cor-
rectement dans l'axe de piste (aides radio,
localizer et glide). Il y aura lieu de tenir
compte, aux niveaux de difficulté les plus éle-
vés, de l'espacement dans le temps et dans
l'espace, des avions. Les derniers niveaux
présentent des situations identiques à celles
que peut rencontrer un contrôleur aérien.
Excellente simulation, la seule dans le genre,
ATC devrait satisfaire les passionnés d'avia-
tion qui ont envie de se mettre à la place d'un
contrôleur.

COMMODORE 54 • SPECTRUM • AMSTRAD • THOMSON MO 5 %& S /*»
ORIC-ATMOS • IX 81 • MSX • APPLE II • ATARI yntA^- TT

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INITIATION :

LES TABLEAUX
DIM

Michel ARCHAMBAULT

1 Ine des richesses du Basic,
l^des possibilités que le débu-
tant ne soupçonne pas, mais
aussi une source de pièges si on
ne respecte pas certaines règles
(très différent du DIM du SINC-
LAIR ZX81).

""' ,^

DEFINITION

C'est un groupe de variables que
l'on numérote afin qu'elles soient
plus faciles à manier et aussi à
baptiser ! Exemples : Ees douze
mois de l'année. On pourrait les
définir ainsi : A$ - "janvier":B$ =
"février":C$ = etc.. pénible !
Groupons-les dans une liste
numérotée {on dit aussi INDI-
CEE). M$(1) = "janvier":M$(2) =
"février": etc.. Ce sont des
"variables indicées".
Si l'indice ne dépasse pas dix,
tout se passe bien, au-delà {et
c'est le cas pour les douze mois),
il est obligatoire de le signaler a
l'avance : une réservation de
place.

DIM M$(12) à mettre dans les
toutes premières lignes du pro-
gramme (une sage précaution),
même si l'on ne s'en sert que
beaucoup plus loin.
S'il s'agissait des sept jours de la
semaine, vous pouvez vous

dispenser de déclarer au début
DIM J$|7), mais sachez (qu'à
votre insu) l'ordinateur va créer
un DIM M$(10) à l'instant même
où vous entrerez J$(1 ) = "Di-
manche"... D'où un petit gaspil-
lage de réservation dans la
mémoire.

Tout cela est bien sûr valable
pour les variables numériques.
Dans nos deux exemples, il
s'agissait de simples listes à une
seule "colonne", mais on peut
définir un tableau à plusieurs
colonnes. Il faut bien sûr décla-
rer le nombre de ces colonnes.
Autrement dit, il faut déclarer les
DIMENSIONS (DIM vient de là)
du tableau. Exemple :

- DIM NOM$(80,3) signifie 80
lignes et 3 colonnes, soit
80x3 = 240 variables chaînes
différentes.

- N0M$(24,2) désigne la chaîne
se trouvant en ligne 24, colonne
n° 2.

- Seul le programmeur connaît

le nom de la rubrique-colonne.
Exemple n° 1 = NOM, n° 2 = pré-
nom, n° 3 = adresse. Il a même
intérêt à le noter dans un REM
afin de ne pas l'oublier ! En effet,
si vous entrez NOM$(32,3) =
"Georges", il n'y aura pas de
"syntax error"...

INDICE ET COLONNE ZERO

Ils existent bel et bien ! Ainsi,
notre DIM NOM$(80,3) va de la
ligne à 80 et de la colonne à
3, soit au total 81x4=324
emplacements et non pas
240 !... Quel gaspillage. Puisque
nous ne voulons que trois colon-
nes, il fallait déclarer DIM NOMS
(80,2) avec n°0 = nom, n°1 =
prénom, n°2 = adresse. Quand
nous avions écrit DIM M$(12),
l'ordinateur l'a interprété comme
DIM M$( 12,0), et il n'y a qu'une
seule colonne ; mais treize lignes.
En étant radin, on aurait pu
annoncer DIM M$(11) et entrer

M$(0) = "janvier"... M$(11> =

"décembre". Ici, c'est dommage

puisque l'indice n'est plus égal au

"numéro" du mois.

Dans la pratique, voilà ce que l'on

fait :

On "récupère" la colonne zéro,

mats on n'utilise pas la ligne zéro.

Pourquoi ?

— parce que le plus souvent les
lignes sont bien plus nombreuses
que les colonnes ;

— parce que la ligne zéro est sou-
vent utilisée pour y copier provi-
soirement une va\eur, une "case
transit", un refuge. C'est ce qui
se passe dans le classique "tri à
bulle". La "bulle" est justement
la ligne zéro, et cela clarifie l'écri-
ture du tri ;

— parce que dans un tableau de
valeurs numériques, il est plus
clair de loger en ligne zéro les
totaux des valeurs de chaque
colonne...

En effet, il est fréquent que l'on
définisse un nombre maximum de
lignes, une sécurité, une pré-
voyance, en estimant que le
tableau ne sera jamais complète-
ment rempli. Si un numéro de
ligne a dans le programme une
signification bien précise (exem-
ple : les totaux sur les lignes rem-
plies), il est logique que ce soit la
première, donc la zéro. OK ?

LA TROISIEME DIMENSION

Dans l'esprit, on voit notre DIM
NOM$(80,2) comme un tableau
dessiné sur une feuille de papier,
mais que représenterait un DIM
NOM$(80,2,2) ? Tout simple-
ment trois feuilles-tableaux ayant
les mêmes quadrillages et les
mêmes noms dé rubriques.
Par exemple, chaque feuille est la
liste des membres de votre club,
mais n°0=1984, n°l=1985,
n°2=1986.

Ces tablaux à trois dimensions
(trois paramètres) sont plutôt uti-
lisés avec des variables numéri-
ques car ils simplifient l'écriture
de certains calculs. Un exemple :

DIM VENTE(24,5,3)

représente 24 articles, 5 maga-
sins, 3 années. Tous les indices
zéro sont des totaux (lignes,
colonnes et feuilles). La colonne
n° 2 désigne le magasin de Tou-

louse. Par des boucles FOR
NEXT, on a rempli les cases de
la feuille zéro en totalisant les
cases correspondantes des feuil-
les 1, 2 et 3 (1983, 1984,
1985). On veut savoir combien
Toulouse a déjà vendu d'articles
n° 9 : PRINT VENTE (9,2,0).
Quel pourcentage cela représente
sur l'ensemble de nos cinq maga-
sins ?

PRINT 100"VENTE(9,2,0)/
VENTE(9,0,0);"?"

Dès que ce "tableau cubique"
est en RAM, vous voyez qu'on
peut se livrer aux statistiques les
plus folles et en une seule ligne
de Basic.

L'ENCOMBREMENT MEMOIRE

Reprenons notre DIM VENTE(24,
5,3). Combien de variables ?
25x6x4 = 600. S'il s'agit de
nombres réels, cela fait au moins
600 x 5 = 3000 octets, si ce sont
des nombres entiers (non déci-
maux et inférieurs à 32767), ce
n'est que 600 x 2 = 1 200 octets.
C'est peu, mais notre DIM ne
comportait que 24 lignes...
Si au lieu de nombres il s'agit de
chaînes, c'est pire encore car il
faut compter un octet par carac-
tère. Même si le tableau n'est pas
rempli I N'oubliez pas que vous
avez réservé sa place en début de
programme !

Comment éviter des gaspillages
d'octets ?

— Pour entrer des chaînes,
calibrez -les après chaque INPUT.
Exemple avec coupure à 12
caractères maxi :

IF LEN(C$) > 1 2 THEN C$ = LEFT
(C$,12)

L'absence de calibrage est dan-
gereuse, car si une seule chaîne
est très longue (40 caractères
pour une adresse), la réservation
mémoire va faire un bond en
grosseur...

— Pour un grand tableau de
valeurs numériques, essayez
d'utiliser des nombres "entiers".
Pas toujours facile ! S'il y a obli-
gatoirement des nombres déci-
maux (2 décimales) et s'ils sont
toujours inférieurs à 320,
multipliez-les par cent ; mais
n'oubliez pas l'opération inverse

pour les utiliser... Autre gymnas-
tique qui porte le maximum à 640
(s'ils sont toujours positifs) :

N%(l,J) = NB*100-300
(% — entiers)

Opération inverse :

NB = (N%(I,J) = 320)/100

Ces manoeuvres sont payantes
car l'encombrement mémoire
passe ainsi de cinq à deux !

LES FAUTES CLASSIQUES

La plus banale est le "Array
already dimensioned" (Array =
tableau). Voici pourquoi : assez
loin dans votre programme, vous
avez eu besoin d'un DIM, et vous
le déclarez dans les lignes 3000,
puis vous le remplissez ; jusqu'à
là aucun problème. Puis, en tritu-
rant votre listing, vous ajoutez
des GOTO par ci par là ; le dérou-
lement du programme va donc
passer une seconde (et der-
nière I) fois sur la déclaration du
DIM, il n'aime pas cela et il
plante.

De grâce, ne disséminez pas vos
DIM dans le listing : groupez-les
en une seule ligne en tout début
du programme. Trois raisons à
cela :

— ils sont à l'abri d'un GOTO
planteur ;

— pour s'assurer de leur tailles
(ou les modifier), on les retrouve
immédiatement en ligne n° 50 ou
n° 100 ;

— c'est plus vite écrit, car une
virgule remplace ":DIM". Exem-
ple :

100 DIM NB(80,2), NOM$(24,
3),LT%(50,1)

Autre code d'erreur, le "Sub-
script out of range", quand vous
demandez un numéro de ligne ou
de colonne plus grand que les
limites fixées. La cause est sou-
vent une "incrémentation" d'in-
dice sans surveillance. Exemple
classique : le remplissage d'un
DIM NOM$(30) par des INPUT,
en ne connaissant pas le nombre
de variables que l'on va effecti-
vement y mettre :

400 1 = 1 + 1

410 INPUT N0M$(l)

420 IF NOM$(l) = "Q" THEN 500

mmmm^mÈ

,:. .. ■ ■ ■■■■.■■■.■

430 GOTO 400

500 'Suite du programme

Trois belles gaffes :

— emporté par votre élan, vous
tentez d'entrer un 31° nom :
plantage ;

— vous vous arrêtez au dou-
zième, mais le treizième nom
n'est pas vide, il s'appelle
"Q"... ;

— vous savez que vous venez
d'entrer le 30° et dernier nom et
déjà le code d'erreur apparaît en
ligne 410, car il refuse INPUT
N0M$(31).

Voilà, un bon petit exercice :
essayez de réécrire ce passage
tout simple pour qu'il soit sans -
défauts (testez-le avec un DIM
plus petit).

LA COMMANDE ERASE

Supposons que vous n'ayez plus
besoin de l'encombrant DIM NB
1200,3} et que vous souhaitez
récupérer son espace mémoire à
d'autres fins. Il suffit d'écrire :

ERASE NB

Toutes ses variables n'existent
plus et DIM NB(200,3) non plus.
Vous pourriez même le redéfinir
en DIM NB<20,2)... (le cas est
rare). Attention à la faute de
syntaxe du genre ERASE
NB(200,3). Seul le nom de la
variable suit ERASE, sans paren-
thèses, ni paramètres.

TABLEAUX A DEUX
TYPES DE VARIABLES

Si le DIM annoncé concerne des
variables chaînes, on ne peut y
introduire des nombres et vice-
versa. Or, ce besoin est courant,
exemple, notre tableau NOMS
où, en plus des colonnes nom,
prénom, adresse, vous voudriez
ajouter des variables numériques
(année de naissance, montant de
la cotisation au club, etc.. ).
Comment faire ? Deux solutions :
— Transformer vos nombres en
chaînes par la fonction STR$.
C'est simple mais encombrant en

mémoire et lourd à manier s'il y
a des calculs à faire (par la fonc-
tion VAL).

Créer un autre tableau DIM,
numérique celui-là, mais dont les
numéros d'indices vont corres-
pondre. Exemple : DIM NOM$
(80,2), NOM%(80,3) soit pour
chaque individu ( = ligne) trois
variables chaînes plus quatre
variables numériques de seule-
ment deux octets chacune.
Ah 1... Vous dites qu'il faudrait
une cinquième variable numéri-
que qui ne peut être un nombre
entier, donc "réel" à cinq
octets ? Rien de plus facile, on
ajoute simplement DIM NOM
(80), et Basic y reconnaîtra les
siens.

CONCLUSION

Nous pensons qu'à présent les
tableaux DIM n'ont plus de
mystères pour vous, et que ces
règles, méthodes et astuces vous
seront très utiles pour concevoir
vos programmes.

NOUVELLES DE SUISSE

Sémaphore Logiciels et Gillsoft
International Ltd. — les créateurs
gallois du célèbre programme
"The Quill" — ont conclu un
accord aux termes duquel les
deux sociétés collaboreront à la
production de la version française
du programme sur l'AMSTRAD,
qui sera mis en vente dès janvier
1986.

Ce programme de création
d'aventures qui a été vendu à plu-
sieurs milliers d'exemplaires en
Angleterre, en Allemagne et en
Scandinavie, sera réécrit dans
l'optique de la mystique des
légendes et chansons de geste
françaises.

L'utilitaire graphique "The lllus-
trator" qui permet de créer et
d'introduire des illustrations dans
les aventures produites avec
"The Quill" sera aussi traduit et
publié par Sémaphore.
Plusieurs aventures créées avec
Quill ont été publiées avec suc-
cès. Une des caractéristiques du
programme étant qu'aucun droit
d'auteur n'est demandé pour
cette utilisation.
Un autre accord de collaboration

a été passé avec Hisoft qui verra
la publication en français, au
début de 1 986, des célèbres pro-
grammes pour l'AMSTRAD :
Hisoft "C" et CP/M 80 "C"
Hisoft 'Devpac 80" CP/M
(assembleur/désassembleur)
Hisoft "Pascal" et CP/M 80
"Pascal".

Ces logiciels sont considérés par
la presse spécialisée anglaise
comme des classiques dont la
qualité n'a d'égal que le service
après-vente offert par la maison
Hisoft.

Les autres programmes de cet
éditeur anglais seront traduits
dans le courant de l'année pro-
chaine, et Sémaphore Logiciels
assurera le service et la mise à
jour pour les pays de langue fran-
çaise.

GONFLEZ VOS MACHINES

La SARL JAGOT & LEON vous
informe de l'industrialisation
d'une nouvelle carte d'extension
pour les ordinateurs AMSTRAD
(CPC464, 664 et 6128).
Il s'agit d'une extension mémoire
de 64 k-octets se présentant
sous la forme d'une disquette

électronique, similaire à celle du
CPC 6128. Son prix de vente
public est fixé à 800 F TTC. Elle
nécessite l'utilisation d'un cordon
de liaison pour la relier à l'ordina-
teur d'une valeur de 1 50 F TTC.
Ce cordon peut être employé
pour tous les autres périphériques
Jagot & Léon. Renseignements
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NOUVEAUTES

LORICIELS

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enfin disponible.

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"J'ai attrapé
une souri

fttf mstrad Computer Show de Londres nous a donné /'occasion
Sgl de découvrir la souris AMX pour AMSTRAD développée par
*"* I Advanced Memory Systems. Non seulement de découvrir,
mais aussi de rapporter en France un exemplaire de présérie de la
bête pour en effectuer un essai complet, ceci au grand dam de nos
confrères britanniques qui durent se contenter de la tester sur le
stand.

Dans un emballage marqué BBC
MICRO {l'emballage AMSTRAD
n'était pas encore prêt), nous
avons trouvé une souris, un boî-
tier d'interface et une cassette.
La souris est constituée d'un boî-
tier noir tenant bien en main, d'un
câble souple d'environ 1 , 50 m et
d'un connecteur à verrouillage, se
branchant sur le boîtier interface.
Sur la face avant du boîtier, nous
trouvons trois poussoirs de cou-
leur rouge servant à exécuter un
ordre, à annuler un ordre et à
déplacer des dessins sur l'écran.
Sur le dessous, nous trouvons la
sphère métallique qui roule sur la
table et quatre petites sphères de
nylon situées aux quatre coins et
destinées à faciliter le déplace-
ment du boîtier.
Etant depuis longtemps utilisa-
teur de la souris APPLE, nous
avons effectué une comparaison
des deux modèles. Voici, en vrac,
nos impressions :

— la souris APPLE est plus jolie,
mais ça se discute,

— la boule métallique d'AMX ne
prend pas la poussière, contrai-
rement à la boule en caoutchouc
d'Apple qui encrasse les rou-
leaux.

— le cordon AMX est plus sou-
ple,

— la souris AMX glisse mieux sur

Marcel LE JEUNE

la table. On peut même dire
qu'elle roule,

— le branchement Apple est plus
élégant car l'interface est incor-
porée à l'ordinateur.
Ces comparaisons étant faites,
voyons le boîtier d'interface. Il se
branche directement sur la prise
joystick de l'AMSTRAD et pré-
lève son alimentation par un cor-
don muni de prises qui s'interca-
lent en série dans l'alimentation
de l'ordinateur. Nous avons
démonté les boîtiers et découvert
une mécanique et une électroni-
que de fort belle facture. Les
composants sont installés sur des

circuits imprimés en époxy.

LES LOGICIELS

La souris AMX est livrée avec une
cassette ou une disquette conte-
nant quatre logiciels dont le plus
accessible est ART. Il s'agit d'un
logiciel de dessin utilisant les icô-
nes et les menus déroulants. Rap-
pelons que les icônes sont des
symboles graphiques représen-
tant une fonction du logiciel, que
l'on choisit en y superposant le
curseur de la souris et en pres-
sant le bouton. On y trouve tou-
tes les fonctions usuelles de ce

type de programmes de dessin, à
savoir : crayon, gomme, aérogra-
phe, différentes tailles de pin-
ceaux, trames, polices de carac-
tères; comme notre programme
Cherry-Paint, ART est mono-
chrome. La souris apporte un
confort d'utilisation supérieur au
joystick ou au clavier, et la beauté
de votre œuvre sera fonction de
vos talents de dessinateur et de
votre imagination. Notons que les
images peuvent être sauvées sur
cassette ou sur disque et impri-
mées sur papier, pourvu que vous
disposiez d'une imprimante
AMSTRAD ou compatible
EPSON.

L'excellent manuel d'utilisation
vous explique comment utiliser la
souris dans vos programmes et
créer vos propres trames à l'aide
du programme Pattern Designer,
ou vos icônes avec le pro-
gramme... Icon Designer.
Le dernier programme du lot :
AMX Control apporte un jeu de
14 instructions supplémentaires
spécifiques à la souris au Basic de
l'AMSTRAD. On pourrait qualifier
ce programme de MOS (Mouse
Operating System). Par exemple,
l'instruction IMovepointer efface
le curseur, raffiche l'écran d'ori-
gine et replace le curseur à la
nouvelle position définie par la
souris. De belles heures de pro-
grammation en perspective.
H ne nous reste qu'à attendre
qu'elle soit importée en France et
à espérer qu'elle sera vendue à un
prix voisin de son prix en Angle-
terre, qui est de 69,95 livres.

COMMENT ÇA MARCHE ?

La souris contient une boule métallique qui roule sur la table quand
on la déplace. Cette boule entraîne deux rouleaux diposés à 90°
l'un par rapport à l'autre et chacun de ces rouleaux entraine un
disque métallique muni de fentes qui tourne en passant dans une
boîte à lumière. Dans la boîte à lumière, appelée optocoupleur, on
trouve, d'un côté une diode LED qui émet de la lumière, et de l'au-
tre, un phototransistor qui capte la lumière passant par les fentes
du disque. Ce phototransistor génère des impulsions électriques
dont la cadence est proportionnelle à la vitesse de rotation du dis-
que et, par conséquent, aussi à la vitesse de déplacement de la
souris. Les circuits électroniques de l'interface traitent ces impul-
sions, détectent le sens et la vitesse de rotation des disques et
génèrent de signaux qui sont appliqués aux quatre commandes
de la prise joystick de l'AMSTRAD. On notera que la souris ne fonc-
tionne correctement que si on la déplace sur une surface plane
démunie d'aspérités.

■

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II

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L-iimc

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imaginez que votre AMSTRAD vit

n t de tomber

en panne ; i! ne tu

*6M

plus qu'un petit

kilo-octet de mémoire. Saurez,- vo

programmes qui n

snt que dans ce

Mto-Oetet ? Attention t vosproors

Times devon

être écrits en Bas

1 les routines en

coda machine présentées sous forme de data

ont acceptées- F>

tes-rt

ïus parvenir vos

programmes suf cassette, eccompàgnéBd unefc

ève explication. i.t

i cassettes vous seront

retournées si vous le démandez.

Alors, s vas claviers. !l feiir réuss

r à loger le m

ijtfirtum d'intettige

>ce 3<i

ns un kloocie!

Las meiilEurs:programme= seront r

lisâi'honneu

rdansCPCetieur

aue

ts lécompensés

cataloguer une cassette de manière plus
détaillée que la commande CAT tradition-
nelle. La présentation fournit, sous forme de
tableau, les renseignements suivants : Nom

'!»12)=*M*1MI6

fichie

bloc

bloc

(Oui = &FF, Non = 0], type du fichier
(Bp = Basic protégé. As = Ascii, Bi = Binaire,
Ba = Basic), longueur du bloc, adresse de
début, premier bloc ? IOui = &FF, Non = 0),
longueur totale du fichier, adresse d'exécu-
tion d'un programme en langage machine, et
enfin des datas qui ne sont pas utilisés par
le système d'exploitation, mais servent par-
fois È cacher un programme ou des informa-
tions secrètes. Tous les chiffres sont en hexa,
sauf les numéros de blocs. Christian recevra
en récompense un superbe livre d'aventure.

10 MODE 2:MEM0RY 38899:F0R 1=38500 10 38
911:RcAD A:PCKE I,A:NEXT;DEF Frift(A)=HE)!
ï((PEEK(AH25è*PEEK(fl+l)),4):DEF FNcKaJ

1.183.201

20 AÏ!Û)='SA';.
)="AS"

24 PLÛT 0.375:DRAUR 640.0

25 F0H i=l Tu 9:RE£D «PLOT w,399:!)RAWF
0,-40D:NE«î

28 DATA 130.156.160,205.^3,^0,322.368,

412

50 L0CATE 2,l:PRÏNT , nom '\l0CATE 18.1:PR

INT'E*:L0CATE 21 . 1 : PRÎNT'DE" :L0CATE 1,3:

LMATE 2*.l:PfiINT É TF':L0CATE 27,1:PRINT

im E':L0CATE 33,1:PRINT'DEE":L0CATE 38,

1:PRÏNT , PS?':LÛCATE 42,1:PR1M"L0N F':L0

CATE 4fl,l:PRIMT , EÏEC':L0CATE 55.1 sPRINT"

DATAS ?"

55 CALL 3B900

6D L0CATE l.a:F0R 1=39000 T0 39015:PRÏNT

CHRS(PEEK(I))

:MEXT

61 LOCATE ie,a;PRINT USINS , S#';PEEK[390
16)

62 L0CATE 21.a:PRINT FrJgï(39017)

63 LOCATE 24.a:PRINT A*KPEEK(3901B) AND

!5)t

t.4 LOCATE 27.a

PRINT FNfïl 39019)

65 LOCATE 33, a

PRINT FNft(3902i)

66 L0CA1 38, a

PRINT FNg$(39023)

67 LOCA'E 42, a

PRINT FNftl 39024)

oB LCCATE 48. a

PRINT FNf*(39026)i

70 FOR ;=3902B T0 39063:1F PEEKIDO0 TH

EN GCTO 75 aSE rOT:S0T0 BO

75 FRINT TAB(53)::FOR 1=39027 T0 39063:P

=>W F^jgïd ) ; *, *; :NEXT:a=a+3:S0T0 55

80 a=a+l:G0TC 55

FAUDRAIT PAS PLAISANTER !

Un lecteur candide ? naïf ? mal
informé ? nous adresse, pour
publication dans CPC, un article
sur un synthétiseur vocal paru
chez notre confrère ELEKTOR !
Il ne faut pas pousser ! Les arti-
cles et programmes publiés dans
CPC doivent être inédits. Il ne
saurait être question de publier
dans nos colonnes des sujets
déjà traités ailleurs, surtout si
vous n'en êtes pas l'auteur...

ENFIN, UN SYNTHETISEUR VOCAL FRANÇAIS,
parlant français, comme les français.

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sont multiples. A base de formants, celui-ci est programmable
par phonèmes ( logiciel de phonèmes français livré d'origine ),
diphonèmes, mots, phrases ; utilise l'amplificateur audio interne
du micro ordinateur, possède une sortie ampli hifi. < résultats
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CONDITIONNE SUR UN SUPPORT EN
POLYSTYRENE AVEC Kj PROGRAMMES

TABLE DES MATIERES

PREFACE I
CHAPITRE

angage Basic

. L'ordinateur. . ...........

. Le language Basic.

. La notion de programme

, Quelques Instructions Basic,

, Test des connaissances

CHAPITRE 2

Les jei

, Deviner des chiffres..

Manipuler des degrés

Résoudre des équations.
Statistiques

CHAFITKE 4 : Graphismes

. Une table a dessin

CHAPITRE S : la gestion de fichiers

, Leb notions de donné)

, La gestion des fichiers

. One application des fichiers

, Programme AGENDA

. Budget familial

de fichiers. ,

: Comptabilité

, Facturation

. Comptabilité génér;
, buletin de paye...,

PRIX PUBLIC 138,00 FRS TTC

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CE LOGICIEL VOUS PERMET

200 COMPTES

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PLAN COMPTABLE AVEC COLLECTIFS GESTIOI

OUVERTURE DES COMPTES

SAISIE DES ECRITURES

TENUE DES COMPTES en permanence

CONSULTATION DU JOURNAL DES COMPTES

CONSULTATION de In BALANCE

EDITION DES LISTINGS SUR IMPRIMANTE

LISTING DES COMPTES

JOURNAL GENERAL

GRAND-LIVRE

BALANCE

TEST DE CONFORMITE DU PLAN COMPTA BLE

CONSERVATION DES DONNEES SUR CASSETTE

LOGICIEL ACCESSIBLE IMMEDIATEMENT

PROTECTION DES DONNEES PAR UNE CLSF
EMPECHANT TOUTES INDISCRETIONS

POURQUOI ATTENDRE

PROGRAMME COMPTAMSTRAD SUR
DISQUETTE 750 FRS

PRIX PUBLIC 450.00 FRS TTC

UN MAGNE

PHDN

AU BANC
D'ESSAI

Un magnétophone, diable,
mais pour quoi faire ? Pour
les CPC 664, pardi ! Le lecteur de
disquettes intégré a supprimé le
magnétophone, mais bon nombre
d'utilisateurs passant du 464 au
664 se retrouvent avec des logi-
ciels sur cassettes inutilisables...
Faut-il acheter un magnétophone
spécial informatique ? Peut-être...
En tout cas, celui que nous avons
testé en premier, "LASERDA-

TA", ne nous a pas convaincus.
Elégamment habillé de gris
anthracite, il s'intègre à l'environ-
nement CPC par sa couleur. L'ap-
pareil est alimenté directement à
partir du secteur 220 V, ce qui
est un bon point. Il possède,
comme il se doit, un compteur
indispensable au repérage des
enregistrements. Il ne possède
pas de haut-parleur incorporé, et
le petit frère (ou la petite sœur)

ne pourra pas s'en servir pour
écouter Chantai Goya. Un
contrôle auditif type "buzzer" est
commandé par un circuit de
"monitoring" que l'on peut met-
tre "EN" et "HORS" service. Le
réglage du niveau de sortie est
commandé par un potentiomètre
portant des graduations de zéro
à 10. Côté enregistrement, c'est
automatique : il n'y a aucun
réglage et une diode électrolumi-
nescente s'allume lors du
"SAVE".

Le clavier de commande est
composé de cinq touches gris
clair et d'une sixième (verte) pour
l'enregistrement. Ce clavier, tout
en plastique, ne donne pas une
impression de fiabilité exem-
plaire ! Nous avons glissé trois
logiciels pour essayer de les char-
ger : aucun problème avec deux
d'entre eux, par contre beaucoup
de difficultés avec l'autre. Pour-
tant, sur le 464, nous n'avions
aucun problème avec cette cas-
sette. Ah ! les problèmes d'azi-
mutage...

Autre défaut constaté sur l'exem-
plaire dont nous disposions : une
fâcheuse tendance au blocage
lors du défilement de la cassette.
Les entrées/sorties vers l'ordina-
teur se font sur prise DIN ou sur
jack. Lors de l'achat, n'oubliez
pas de demander le câble spécial
pour la liaison avec l'AMSTRAD.
Notre conclusion : pour 390 F
l'appareil testé nous paraît assez
peu fiable mécaniquement... En
cherchant bien, vous le trouverez
à moins cher mais, surtout, ne le
payez pas plus de 400 F.

ESSAI IMPRIMANTE

MT SOS

Choisir une imprimante, périphérique important du micro-
ordinateur, n 'est pas chose facile. S 'il est vrai que la ponction
effectuée sur le porte-monnaie est déterminante, il y a d'autres
facteurs à prendre en considération.

Parmi les nombreuses impriman-
tes qui existent sur le marché de
l'ordinateur familial, il en est qui
émergent, soit par le prix, soit par
les possibilités, soit par leur
renommée. Certaines allient tous
ces avantages et sont présentes
sur bien des catalogues de
revendeurs.

La MT80S de MANNESMAN-
TALLY est de celles-là.
Pour moins de 4000 F, la MT80S
met à votre portée d'excellentes
caractéristiques : une mécanique
robuste (il n'y a qu'à ouvrir le
capot et regarder les pignons
d'entraînement), un encombre-
ment qui reste acceptable (385 x
320 x 1 30 pour un poids de 5 kg)
et un jeu complet de modes
d'écriture que nous allons exami-
ner. La vitesse de travail (100
cps) est également un atout.
Il est irritant, sur certains maté-
riels, de devoir se livrer à une
gymnastique fastidieuse pour
introduire le papier dans la

machine. Ici, ce ne sera pas le
cas : le circuit papier est très bien
étudié, et les risques de "bour-
rage" sont réduits. Le ruban
encreur est livré sous cartouche,
ce qui évitera de laisser des dis-
gracieuses (ou traitres) emprein-
tes digitales après sa manipula-
tion.

Bien sûr, la MT80S n'admet pas
seulement du listing "accor-
déon", mais aussi du papier nor-
mal, pour faire vos rapports ou
votre courrier. L'entraînement du
papier se fait par traction (listing)
ou friction (normal).
La mise sous tension s'effectue
par un interrupteur disposé sur le
flanc droit de l'imprimante. Dès
qu'il est actionné, les voyants
POWER, READY, ON LINE, situés
sur la face avant, s'allument. Un
indicateur "PAPER OUT" vous
informera de l'absence du papier.
Deux commandes, FF (Form
Feed) et LF (Line Feed) permet-
tent, à condition que l'imprimante

soit "off line", de faire avancer
le papier par page ou ligne.
Un auto-test peut être déclenché
à la mise sous tension, si on
active l'interrupteur en même
temps que l'on appuie sur LF : le
jeu de caractères est alors
imprimé en continu.
La longueur d'une page peut être
réglée à 66 ou 72 lignes (papier
11 pouces ou 12 pouces).
L'initialisation de l'imprimante
peut se faire par logiciel,
commandée directement à partir
du micro par l'envoi de la
séquence ESC

Le jeu de caractères comporte 96
caractères normaux, 96 italiques,
87 caractères spéciaux et codes
de commande, 103 caractères
semi-graphiques.
Sur AMSTRAD, une partie de ces
possibilités ne pourra être exploi-
tée à cause de la liaison non stan-
dard (absence du 8 8 bit). Si on
tenait le "cerveau musclé" qui a
affublé notre chère machine de
cette tare...

Il est à noter que l'accès aux dif-
férents jeux de caractères s'ef-
fectue par soft intégralement ou
par hard (dip-switches), ce qui est
très intéressant.

Je su i s 1 ' ire

primante MAHNESMANN TALLY MT

SOS.

et je vous f

repose plu.sieu.i-

s modes d'écriture...

!"«*%&' <)*+.,

-. /01234567B9:

<=>?àABCDEFGHIJKLHNOPSRSTUVWXYZ ■£§■"_■

abcde-fghi j klmnopqrstuvwxyzéùè

\Jd iri 1

e- m CD d &

e- 1 &r-

■3*7

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1 <=■!= t i

tras

on le iode condense,

pour gagner le la place...

lien entendu, en m

peut nn e- 1 va ei -3 & r-

- - "

Ecrivons en

plus gras

Et «s-n

GROS e-t

GRAS

Normal e*,=o«r.*

Normal x •*«««,»

Les caractères sont définis sur
une matrice 7x8 ou 8x8 en
semi-graphique. Le mode graphi-
que autorise 640 points par ligne.
Le mode "normal" est complété
d'un mode "condensé" et d'un
mode "élargi".

De 80 caractères par ligne, on
passe à 1 42 caractères en mode
"condensé". En mode élargi, on
peut écrire sur 40 colonnes. Les
modes "Elite" et "Exposant"
sont aussi disponibles.
Un petit exemple étant préférable
à tous les longs discours, vous
trouverez, dans cet article, une
présentation des différents
modes d'écriture.
La séquence code ESC suivie de

I ou 2 caractères sera fréquem-
ment utilisée ; il est ainsi possi-
ble d'accéder à toutes les res-
sources de l'imprimante : mar-
ges, soulignement, modification
d'interligne, écriture proportion-
nelle, tabulation et même les
mises en et hors "line" de l'im-
primante.

II est intéressant de noter qu'un
"DUMP" hexadécimal des carac-
tères envoyés è i'imprimante
peut être reproduit sur papier ;
cela est très utile lors de la mise
au point de certains logiciels.
Le mode graphique "bit-image"
ne sera pas utilisable directe-
ment, et il faudra écrire un logi-
ciel, mais cela vaut pour toutes

les imprimantes, le HARD COPY
graphique (ou texte) n'étant pas
prévu dans le Basic de l'AMS 1
TRAD.

Evidemment, l'absence du 8 B bit
obligera l'auteur du logiciel de
recopie à jongler un peu avec les
possibilités du mode BIT IMAGE
de l'imprimante.
Dans ce mode, les profils binai-
res à reproduire sont définis sur
deux octets, représentant le nom-
bre de bits qui suivent, chaque bit
représentant lui-même un point
image. La copie graphique pourra
se faire en simple ou double den-
sité.
La notice, bien qu'écrite en

anglais, est suffisamment
complète pour aider le program-
meur, efficacement, lors du déve-
loppement de logiciels utilisant
l'imprimante.

Les essais auxquels nous avons
procédé pendant la période du
test montrent que le matériel est
très sérieux, robuste et facile à
utiliser. Servie par un bon logiciel,
la MT80S possède bien des
atouts : fiabilité, vitesse de tra-
vail ( 1 00 cps en mode normal) et
simplicité d'emploi, complétés
par le caractère multi-usages du
matériel.

Lorsque nous vous aurons dit que
cette imprimante est disponible
chez ORDIVIDUEL, annonceur
dans CPC, et que le Père-Noël a

Connaissez -vous

convaincu le gérant du magasin
de faire une promotion à l'occa-
sion des fêtes (3350 F au lieu de
3950 F), vous conviendrez qu'il
est peut-être temps de vous équi-
per de ce périphérique capable
d'imprimer votre courrier et vos
listings.

CPC A 'AMSTRAD EXPO"

A ne pas manquer si vous dési-
rez rencontrer toute l'équipe de
CPC. Nous serons présents sur
un stand et espérons vous y
accueillir.

Ce sera l'occasion pour vous de
découvrir les programmes publiés
dans CPC, d'acheter disquettes
et cassettes, de vous abonner et
de venir nous montrer vos derniè-
res réalisations.

AMSTRAD EXPO

HOTEL HOLIDAY INN

Porte de Versailles

du 24 au 27 janvier 1 986

U-DOS a été créé par LOGICYS dont nous avions de/à
testé le logiciel de facturation. Comme celui-ci, U-
DOS ne nous a pas déçus. La disquette intègre une
routine d'accès direct (fichiers accès direct absents du DOS
AMSTRAD) et des utilitaires qui devraient faciliter la vie
du programmeur.

Bien que livrée avec une notice
"papier", la disquette U-DOS
contient un fichier décrivant ses
diverses possibilités.
U-DOS est livré sur une disquette
protégée qu'il vous sera impos-
sible de dupliquer.
Il est à noter que U-DOS et ses
utilitaires ne peuvent être utilisés
que sur des disquettes initialisées
DATA.

Nous aurons certainement l'occa-
sion de revenir sur la théorie des
fichiers dans CPC, notamment
pour parler de l'accès direct,
aussi notre essai se bornera à
vous parler essentiellement des
utilitaires disque fournis avec U-
DOS.

ACCES DIRECT

Grâce à cette routine, il est pos-
sible d'ouvrir 7 fichiers simulta-
nément.

Quatorze commandes ou instruc-
tions sont ajoutées, dont deux
commandes qui n'ont rien à voir
avec les fichiers : PAUSE pour
programmer des délais et deux
ordres d'écriture/lecture permet-
tant, à partir de chaînes de carac-
tères, de lire et d'écrire des zones
mémoire.

Un descripteur d'erreurs com-
plète le U-DOS.

LES UTILITAIRES

Les utilitaires disque sont acces-
sibles à partir d'un menu général
et permettent de travailler sur une
ou deux unités de disquettes.

Directory amélioré

Donne davantage de renseigne-
ments sur le catalogue de la dis-
quette : le numéro logique des
fichiers, son type, implantation
physique pistes et secteurs, tail-
les disque et réelle des différents
fichiers.

Un résumé indique le nombre de
fichiers de chaque sorte (BAS,
BIN, etc.) et d'entrées encore dis-
ponibles sur le DIRECTORY.
Le tableau, présenté à l'écran,
peut être édité sur imprimante.

Description de fichiers

Donne l'occupation en pistes/

secteurs sur le disque, ainsi que

la piste et le secteur de début de

fichier.

Permet également de renommer,

supprimer, initialiser...

Dump secteur

Sortie sur l'écran, ou sur l'impri-
mante, du contenu listé en hexa-
décimal et en ASCII, de tout un

lÉfelMtfÉBHr

secteur.

Un mini-éditeur permet de modi-
fier un ou plusieurs octets du sec-
teur, en hexa ou en ASCII, et de
sauvegarder le secteur modifié.

Représentation graphique
de l'occupation disque

L'occupation du disque par les
différents fichiers est représentée
sous forme graphique. On peut
donc voir les secteurs libres ou
occupés.

Le total des secteurs libres est
affiché ainsi que le nombre de
kilo-octets qu'ils représentent.

Copie de fichiers

Pour éviter de passer par CPM, U-
DOS contient une routine de
copie de fichiers. Hélas, elle n'est
utilisable qu'avec deux drives, et
uniquement sur des disquettes
formatées en DATA.
Signalons enfin la présence d'un
utilitaire de définition de fichiers
indexés et d'un autre, évitant
l'utilisation du ERA, fonctionnant
comme un éditeur de Directory,
où la suppression est plus aisée.
En conclusion, nous dirons que
U-DOS, outre le fait qu'il permet
enfin de disposer de l'accès
direct, est très intéressant de par
les utilitaires qu'il intègre.

Transformez votre 464 en 664+ !

CARTE MÈRE - EXTENSION EPROM de Super Power

La carte mère s'installe entre l'ordinateur et l'interface disquette (si celle-ci
est utilisée). Elle peut accueillir jusqu'à 7 EPROMs (mémoire morte pro-
grammable) de 8 ou 16K chacune.

Les programmes en EPROM sont instantanément disponibles sur simple
commande au clavier. La carte mère de construction robuste est d'utili-
sation simple. Elle est accompagnée d'une notice en français.

Programmes déjà disponibles en EPROM

^^^m UTILITAIRE GESTION DE DISQUETTE SUPER POWER ^^m

Ce programme permet l'inspection et la modification des informations
contenues sur 1 disquette. Un utilitaire essentiel pour récupérer les don-
nées contenues dans une disquette défaillante. Chaque secteur peut
être lu et réécrit, toutes les données peuvent être affichées ou impri-

Le programme contient au si un certain nombre de fonction utiles aux
programmeurs en langage machine.
Description ;

- Affichage du contenu du «directory» - édition possible

- Lecture et écriture d'un secteur de disque - édition possible

- Lecture des mémoires, possibilité d'édition, de copie et d'impression.

- Désassemblage code entre adresse donnée, donnant adresse, code
objet, mnémoniques, ASC II.

- Recherche dans les secteurs fichiers, une chaîne (stringj ou une série de
codes HEX.

- Formatage, duplication de disque sans CP/M.

- Conversion HEX-BIN-DECIMAL.

- Choix de mode d'affichage.

- Etc..

(affiche la ligne DATA;

Commandes directes
Character : création de caractère utili
Compact : comprime un programme Basic

Editor : Editeur à trois fenêtres

Find/replace : cherche et remplace un caractère ou une chaîne
Médit: HEX éditeur et ASC II

Picture : aide à la création des UDG

Soundlab : éditeur d'enveloppe

Xref : donne toutes les références d'une ligne (GOTO,

GOSUB-)

Commandes imprimante

Cdump : copie haute- résolution

Echo on : sortie directe sur imprimante

Echo off ; LTRON - sortie TRACE sur imprimante

Commandes graphiques
! Circle, Fill, Frame, Gcol, Graphie paper. Graphie pen, Mask,
Turtle...

Commandes d'écran

Copychr : caractère double hauteur ou souligné

Page-on : défilement vertical

Page-off : passage d'un écran à l'autre

Commandes fichiers

Baud : choix de vitesse jusqu'à 4000 Baud

Info: donne adresse, longueur, adresse d'exécution

Unprotect : charge un fichier «P»

SEMAPHORE LOGICIELS

c.p. 32 CH-1 283 La Plaine (Suisset Tél. 022/54 1 1 95

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Tél. 6/446 27 80

lAfttORD

M Al L - M E R

»n»

adressage incorpore.

Fichier de travail porté à 22K sur
464/664 et 64K sur le 61 28.
Echange de données avec MASTERFILE
(fichier) et MASTERCALC (tableur).
Conversion de vos programmes TAS-
WORD/AMSWORD 464 possible. (Ecri-
vez-nous).

TASWORD, TASPRINT, TASCOPY, SEMEXT
MF, SEMEXT MC, Les outils sérieux de
gestion de texte et données de chei
SEMAPHORE !
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Prix de lancement :

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Distribué en exclusivité par SÉMAPHORE

ECHECS
VOCAL

UN TRAITEMENT DE TEXTE A LA LOUPE :

SEMWORD

SEMWORD tit un produit dérivé de /'excellent TAS-
WORD de TASMAN Soft, complété par SEMAPHORE
Logiciel* (Suiêêm). Lm$ compliments apportés en font
un outil à la fols puissant et performant, adapté au mar-
ché "francophone". Nous allons examiner l»s qualités (et
Ims défauts) de ce logiciel.

Au premier abord, SEMWORD
paraîtra complexe à utiliser : en
fait, après quelques dizaines de
minutes, vous serez capable de
saisir votre premier document et
de l'imprimer. Après un couple
d'heures passées en compagnie

£ot*ir

INFORMATIQUE

Micro-ordinitiuri

Nombreux logicitli

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de votre clavier et de la notice,
vous découvrirez toutes les sub-
tilités, et la puissance de ce logi-
ciel.

SEMWORD fonctionne en 80
colonnes mais l'écran est en fait
une fenêtre de 80 colonnes sur
une largeur possible de 128... A
l'initialisation, vous disposerez,
grâce à la redéfinition des tou-
ches, d'un clavier AZERTY. Le
pavé numérique permettra l'ac-
cès aux "accentuées" par l'ac-
tion conjuguée sur la touche
SHIFT. Tout ceci est modifiable
selon les habitudes de l'utilisa-
teur, en particulier le retour au
QWERTY si vous le souhaitez.
Bien que le manuel accompa-
gnant la disquette soit très
complet, un aide-mémoire est
intégré au logiciel. Une partie de
celui-ci est présente à l'écran en
permanence, mais peut être
escamotée. A tout instant, il est
possible de faire apparaître la
totalité de l'aide-mémoire. Vous
serez surpris par toutes les fonc-
tions disponibles...
Au bas de l'écran, une ligne

d'état indique les différents para-
mètres de fonctionnement : posi-
tion en ligne, colonne, justifica-
tion, wrapping...
Comme tout bon traitement de
texte, SEMWORD ne coupera
pas vos mots n'importe où... Le
"Word Wrapping" effectuera la
césure entre deux mots. Vous
pouvez donc saisir vos textes
sans vous soucier de cette
contrainte. Cette fonction peut
être inhibée.

La "justification" à droite est
automatique, mais peut être sup-
primée. Il est possible d'obtenir
des textes "en drapeau". On
peut "déjustifier" une ligne,
"rejustifier" un paragraphe... ou
tout un texte.

On peut également centrer auto-
matiquement une ligne, en fonc-
tion de sa longueur.
Les déplacements au sein du
texte sont rapides et aisés, à
l'aide des touches de curseur. En
règle générale, les différentes
fonctions sont obtenues par
action conjuguée sur les touches
CTRL ou SHIFT plus une touche
alphanumérique.
Effacer un mot, une ligne... ou
tout le document sont des jeux
d'enfant. A l'inverse, les inser-
tions sont tout aussi aisées. Pour
modifier des parties du texte, il
est possible de poser des "mar-
ques" délimitant un groupe de

mots pour les déplacer ou les
supprimer, voire les dupliquer.
La tabulation et la pose de mar-
ges sont réglables. Un paragra-
phe pourra être marge sur 60
colonnes, alors que les autres le
sont sur 80 ou 40...
Les commandes d'impression
sont multiples et permettent un
paramétrage complet de la sortie
du document sur papier. Il est
possible de faire du feuille à
feuille ou de l'impression en
continu, d'imprimer des numéros
de page, des titres, des bas de
page. Des séquences de plusieurs
codes de commandes peuvent
être programmées pour être
envoyées à l'imprimante autori-
sant le soulignage, le change-
ment de police de caractères et
toutes les fantaisies acceptées
par votre machine.
Le logiciel SEMWORD peut être
personnalisé : redéfinition de tou-
ches, intégration de chaînes de
caractères (par exemple pour
obtenir les mots souvent utilisés

dans un rapport ou les formules
de politesse), séquences de
caractères de commande impri-
mante, couleurs sur l'écran pour
encre et papier.

Mais la grande originalité de
SEMWORD réside dans la possi-
bilité (que n'offrait pas TAS-
WORD) de fusionner des don-
nées. Ainsi, vous pouvez placer
à un endroit de votre texte, des
codes de commandes qui vont
faire appel à un fichier externe
capable d'ajouter des morceaux
de texte à votre document. C'est
la porte ouverte vers le MAILING,
par exemple, qui séduira bien des
utilisateurs. On peut également
récupérer des données de
MASTER-FILE ou MASTER-
CALC.

Comme les fichiers lus {ou pro-
duits) par SEMWORD sont de
type ASCII, il est possible de
reprendre un listing source,
généré par un assembleur (ZEN,
par exemple) et de les commen-
ter avec le traitement de texte.

Il est difficile de dire, en si peu de
place, quels sont les atouts de ce
logiciel et s'il souffre de quelques
menus défauts (par exemple, la
lenteur de rejustification d'un
long document en cas de modi-
fication des marges, ou le fait
qu'il faille changer de disquette
au moment des sauvegardes ou
lectures de texte), il présente, à
notre avis, l'avantage d'être un
outil de travail extrêmement
complet, capable de séduire l'étu-
diant rédigeant sa thèse ou le
technicien établissant s son rap-
port. ^^»w 1
SEMWORD est Vendu, sur dis-
quette, 345 F. Il n'est pas pro-
tégé contre la copie et bénéficie
d'une garantie. SEMAPHORE
annoncé même qu'il est en
mesure de "légaliser" les posses-
seurs de copies pirates de TAS-
WORD en leur fournissant, pour
80 francs, le manuel et une carte
de garantie. Cette réaction
devant le fléau du marché qu'est
le piratage laisse rêveur...

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Pour tout achat d'un ordinateur, un abonnement de 6 mois à CPC vous sera offert.

PROGRAMME

AMSTUS

Marie-Pierre BILLIOUD

le rem

mstus est un tableur pour AMSTRAD inspiré de son grand
cousin américain LOTUS 1.2.3. 1/ a cependant /'avantage
Mur ce dernier d'êtro écrit en français et en Basic, ce qui
le r»nd accessibles à tous.

La vitesse d'exécution n'est pas

trop lente en elle-même du fait de
la rapidité du Basic Amstrad, mais
vue l'importance de l'occupation
mémoire, elle est souvent ralen-
tie par les pauses que fait l'ordi-
nateur pour réaménager son
espace mémoire, ce qui réduit la
taille du tableau à des limites infé-
rieures à ce qui serait théorique-
ment possible. Un compromis a
été choisi en prenant 1 5 lignes et
38 colonnes, ce qui permet, par
exemple, de loger facilement un
budget familial ou tout tableau
devant comporter les douze mois
de l'année. Pour modifier la capa-
cité du tableau, il suffit de chan-
ger la variable FIN pour les colon-
nes et FINI pour les lignes.

En ce qui concerne le fonctionne-
ment, les habitués de Lotus ne
seront pas dépaysés, car la pré-
sentation de l'écran est sensible-
ment la même :

— affichage des lignes sous

forme numérique (1 ... 38) ;

— affichage des colonnes sous
forme alphabétique (A ... Z, AA...
AZ ...) ;

— curseur déplacé d'une case
avec les flèches ou d'une page
avec les flèches shiftées ;

— indication en haut à gauche de
la ligne et de la colonne sur
laquelle se trouve le curseur ;

— indication du contenu (for-
mule) de la case sous le curseur
avec indication entre parenthèses
du format en cours pour l'impres-
sion des nombres.

Les saisies de données se font en
tapant les caractères au clavier.
Elles commencent par s'inscrire
en ligne 2, au-dessus du tableau
et ne sont prises en compte
qu'après validation par appui sur
la touche "ENTER" ou sur une
flèche, ce qui provoquera alors un
déplacement du curseur consé-
cutivement à la validation. Avant
validation, la touche "DEL" peut
être utilisée pour les corrections

à l'exception du premier carac-
tère qui est susceptible d'être un
caractère de formatage.
Le nombre des fonctions a été
volontairement réduit car,
compte tenu du peu de place
mémoire, il est préférable de lais-
ser à chacun la possibilité d'im-
planter les fonctions dont il peut
avoir besoin, ainsi qu'il est expli-
qué plus loin. C'est ainsi que,
dans la version proposée, on ne
trouve que les quatre opérations
de base et une fonction de tota-
lisation.

Dans le cas d'opérations isolées,
il est nécessaire de faire précéder
la première donnée d'un opéra-
teur (généralement le signe + ),
sinon le programme considérera
qu'il s'agit d'un caractère.
Les fonctions sont de la forme
SUM {AI .XI), où est le signe
indispensable pour indiquer qu'il
s'agit d'une fonction. SUM est le
nom de la fonction (ici, somme
des colonnes). A1 et X1 sont la
première et la dernière cellule sur

lesquelles doit être appliquée la
fonction (obligatoirement sépa-
rées par un point). Attention de
ne pas inclure la cellule compre-
nant la fonction dans son champ
d'application car le programme
risquerait de ne pas s'en remet-
tre.

En ce qui concerne les chaînes de
caractères, il est possible de les
cadrer dans les cellules en les fai-
sant précéder des préfixes sui-
vants :

"<" — aligne à gauche dans la
cellule,

" = " — centre au milieu de la
colonne,

" > — aligne à droite dans la cel-
lule.

Ces caractères doivent précéder
immédiatement la chaîne et ne
seront pas pris en compte sur le
tableau, si ce n'est pour provo-
quer l'alignement souhaité.
L'appui sur la touche "/" provo-
que l'affichage d'un menu dérou-
lant avec explication des options
sur la ligne suivante. Le passage
à l'option suivante se fait avec la
flèche à droite "— " qui revient
en début de ligne après la der-
nière option. Le choix d'une
option se fait avec la touche
"COPY". Enfin, dans le cas où
cela est nécessaire, la remontée
dans les choix du menu peut se
faire avec la touche "DEL".

DESCRIPTION
DES OPTIONS

Option feuille

GLOBAL

Format — permet de redéfinir
pour l'ensemble du tableau le for-
mat d'édition des nombres état,
étant précisé que les cellules pour
lesquelles un format particulier a
été précédemment spécifié ne
seront pas modifiées.
Largeur - Colonnes — permet de
redéfinir de toutes les colonnes
du tableau la limite de 1 à 77
caractères par colonne.

INSERT

Ligne — crée une nouvelle ligne

au-dessus de celle occupée par le

curseur.

Colonne — crée une nouvelle

colonne avant celle occupée par

le curseur.

EFFACE

Ligne — efface la ligne sur
laquelle se trouve le curseur.
Colonne — efface la colonne sur
laquelle se trouve le curseur.

LARGEUR COLONNE

Permet de modifier la largeur de
la colonne sur laquelle se trouve
le curseur.

TITRE

Ligne — permet de préserver une
ou plusieurs lignes de titre en
haut du tableau, qui ne seront pas
effacées lors des mouvements
verticaux. Ce sont toutes les
lignes au-dessus du curseur lors-
que l'option est choisie qui sont
préservées.

Colonne — même chose avec les
colonnes à gauche du curseur.
Les deux — même chose à la fois
pour les lignes et les colonnes.
Efface — annule toutes les zones
préservées pour des titres par les
options précédentes.

Fonction Bloc

Un bloc est un ensemble de cel-
lules juxtaposées constituant une
forme rectangulaire.
Lorsqu'un bloc doit être sélec-
tionné, les coordonnées de son
point de départ sont affichées.
Elles peuvent être modifiées en
déplaçant le curseur avec les flè-
ches. Ces coordonnées sont alors
fixées en tapant sur le point ".".
Il est ensuite possible de définir
un bloc en fixant les coordonnées
de l'angle opposé du rectangle.
Ces coordonnées peuvent être
fixées, soit en utilisant les flèches
et en appuyant sur "ENTER",
lorsque le point choisi est atteint,
soit en les tapant au clavier et en
appuyant ensuite sur "ENTER".

FORMAT

Cette commande permet de défi-
nir le format d'édition des nom-
bres compris dans un bloc selon
les modes suivants :
Général — la donné est conser-
vée telle qu'elle a été choisie.
C'est le format pris par défaut à
la mise en route du programme.
La zone entre parenthèses est
vide.
Fixe — permet de fixer le nombre

de décimales figurant à l'affi-
chage entre et 9. Entre paren-
thèses, on trouve la lettre "F"
suivie d'un chiffre indiquant le
nombre de décimales choisies.

EFFACEMENT

Cette fonction permet de blanchir
complètement un bloc du
tableau, et par conséquent de
récupérer de la place mémoire.

Option Copie

Il s'agit de l'une des fonctions les
plus intéressantes de ce pro-
gramme. Avec elle, il est en effet
possible de copier une cellule vers
un bloc. Si la cellule d'origine est
une donnée, elle sera recopiée
telle quelle dans toutes les cellu-
les du bloc, ce qui, dans la plu-
part des cas, présente peu d'in-
térêt ; mais s'il s'agit d'une fonc-
tion, la formule sera recopiée en
tenant compte de la translation,
ce qui évite de réécrire des séries
de fonctions ayant la même
structure (exemple : totalisation
de lignes ou de colonnes).
L'emploi est similaire à celui des
blocs. Une fois l'option sélectio-
née, il faut se placer sur la cellule
à copier au moyen des flèches,
puis appuyer sur "ENTER" sans
définir de seconde coordonnée
puisqu'il ne peut être fait la copie
que d'une seule cellule. Le pro-
gramme demande ensuite les
coordonnées d'arrivée qui sont
sélectionnées comme pour un
bloc.

Option fichier

Cette option permet de sauvegar-
der la totalité du tableau sur cas-
sette ou sur disquette après avoir
indiqué le nom sous lequel il doit
être enregistré.

Il est possible ensuite de le relire
dans les mêmes conditions.

Option Impression

Cette option permet d'envoyer la
totalité du tableau sur impri-
mante.

TITRE

Permet de choisir un titre qui sera
imprimé en tête du tableau.

CONFIGURATION

Cp/lignes — permet de détermi-
ner le nombre de caractères par
ligne en fonction de l'option qui
sera prise sur l'imprimante. De
cette manière, un tableau qui ne
tient pas sur une seule page
pourra être édité sur plusieurs.

Codes — permet d'envoyer à
l'imprimante des caractères de
contrôle pour effectuer sa confi-
guration. Ils devront être spécifiés
sous forme décimale comprenant
obligatoirement 3 chiffres et cha-
que code étant séparé par un tiret
(exemple : 027-091-052-119).

Exécution — lance l'impression
lorsque tous les paramètres sont
fixés.

Tous les paramètres fixés pour
l'impression (titre-configuration)
sont mémorisés dans le tableau,
et seront conservés pour les édi-
tions ultérieures, même après une
sauvegarde.

Compte tenu de la relative lenteur
du Basic, il n'a bien entendu pas
été possible d'envisager un
balayage systématique du
tableau pour remettre à jour les
formules après chaque saisie. La

mise à jour n'est donc effectuée
que lorsque le curseur passe sur
la cellule, ou lors d'un change-
ment de page, ce qui actualise
toute la page.

Il est à noter que la touche "CLR'
permet de ramener le curseur en
position home (A1).
La modification ou l'introduction
de nouvelles fonctions peut se
faire en insérant, après la ligne
21 90 ou à sa place, un nouveau
test conditionnel avec le nom de
la foncttion (3 caractères obliga-
toirement), envoyant sur les
lignes à créer qui traiteront cette
fonction.

10 CLEAH:DEFINT a-:;rlODE 2:BÛRDER bINK

O.OîIWi 1,13:PEN I2,0:PAPER K.lirBHO.f]

:PAPER«,i:SP£EB WRITE IsDE^REW.

20 ON ERR0R 60Î0 2500

30 DEF FN centrai, h )=SPACESUNTUh-i£N<

«t))/2))+a*+SPACE*({!ï-L£N(âSi)/2i

40 DEF FNti{a)=HIDÎ(5TR$<a),2)

50 KEY DEF G,1,150:KEY DEF 2,1,151:K£Y D

EF 6,Ï,152:KEY DEF i,J,153:K£Y 150,CHRi<

13]+CHRS<240):KEY 151,CHR*U3>+CKR*<24n

:KE¥ 152,CHR*(13HCHRi(242):KEY 153, CHRî

U3HCHRi{243)

60 FÎN=15:FÏN1=3S:DIM A$(FIN.FINl>:h=7;H

»=• ! •i&*iîBM:M;¥=l!¥i=Ï!xl=i:a

$(O,0)="7*:aS<0,l)=' " :al*=* J' :F0R 1=1 T

FIN:A*(I.0)='7 ':N£XT hGOSUB 1190

70KEY i50.CHRi(13HCHRtl24Q):KEY 151, CH

H*(13i+CHRî(241):KEY i52.0ffit(13)+Cr!Rt(2

42):KEY 153,CHR*U3)t-CHR*(243)

80 RFJ1 déplacement curseur

90 *=x+dx!ij=u+du:)il=xl+dshtjl-yl+dyi

100 IF xt<VAL(a*10,3!) OR xï>f in THEN PR

SON VIDEO

«'• 2000
V MICRO
AQUITAINE
AMSTRAD J2B1Ç
THOMSON **

f S commodore

31, cours de l'Yser
33800 BORDEAUX
Tél.: 56.92.91.78

IhT CHRS(7):X=X-DX:X1=X!-DX1
110 IF uKVAL(ai(G,4)! OR jjl>f»l THEN P
RMT CHRi(7):Y=¥-DY:Yl=Yl-DYl
120 S0SUB 35û:LOCATE I,V:PSINT CHRî(24};
:G0SUÎ 540:PRINT CHR$<24S;
130 ÏF bloc>0 THEN RETURN
1+0 10CATE ii,t,l:aS il:PRMTtl,CHRÎ(64
*xl);U£ING , 8# , :ul::PRÎNT ftl.'ï' ; i!F s=2
THEN PRINTit,v* ELBE PRINT Sl,'(';s*:'!'
;HIDttASfXÎ,Yl),2)

150 dx=0:dy=0:dxl=0:dyl=O:5O5U8 2450
160 IF bl=2 AND (ASCfat) (OR ASC(a.l$))*î
THEN bloc* (bloc AND 1)+1
170 IF ASC(at)<240 GOTO 280
180 L0CATE x,y:60SUÎ 540
190 ON ASCiatl-239 6ÙT0 200,210,220,230.
240,250,260,270
200 Du=-1:DY1=DY:GOTO 90
210 Dys+I:DYl=DVs5QTQ 90
220 Dx=-VALfaStxl-l,Q)):Dx!=-l:G0T0 9O
230 Dx=+VALfâSUÎ,0n:M=+l:6OTO 90
240 Dyi=-22+b:DY=dgl:S0T0 90
250 Byi=*22-bîdy=dîjlî6ûT0 90
260 IF d*l THBÎ PRINT CHRÎ(7):50T0 90
262 dx!=d-xI:WHILE 7°+d*-a: l JAL<a$Ul-l+d
xi, 0)i AND xl*#I>]+cjdx*(k--Vffl-(a$(jil-l*
d!tl,0))idK^dxl-l:l«ND:Qx=-BO:^l=dïl+ïl

-£t-C

265 GOTO 93

270 UHILE 79-x-dx-a>=','flLiftî(MIN(Xl+2ïl.f
irO.0)) AND Kl+dxl<sfin:TÎX=DX+VALfA*(ltî+
KI,Q*):DXi=D!U>iîlENBîïF xl-Kfel-Kfin T
HEN dxl^INixH-dxl-d-c.fin-xl)
275 GOTO 90
2S0 IF bloc>0 GOTO 90
290 ÏF ASC(aSS=î3 GOTO 90
300 IF a*=V THEN ËOSUB 75G:G0T 70
310 IF AS£!Aî)=16 THEN d=l;&)SUE 1680:50
10 90

320 IF a*txi,ul>=" THEN a$îxï,yl!=' '
330 L0CATE li,t,2:PSINT#i.at;:LINE INF'jT
ll,ïl:aî(xl,uU=LEFTJ{aï(id,«n,lHst+v
ïiLOCATE x,u:50a-E 540;SùT0 90
34Q GOTO 90
350 IF X<1 THEN D=D*Qyl:X=I-Di:G0T0 400

360 IF X+yAL<AÎUl,0))>79-A THEN Mt+dsl

:SOT0 400

370 IF Y<1 THEN Dl=El+dy:¥=¥-0T:G0T0 400

330 IF Y>22-E THEN Di=Dl+dy:Y=Y-DY:G0T(j

400

390 RETURN

400 CLSI2:L0CATE i2,!,l:i=d+c:xi=3

410 IF P0Si!t2}+UAL(aJ(i,0))-l>=79-a G0TÛ

440
420 IF i=xl THEN xi=P0S(*2I
430 b=VAL(a*U,0)):PRÏNT i2,Fli centî'CHR
Îi64nï,h);:i=i+1:IF i<=fin AND P0Si#2)>
1 S0T0 410
440 U=ï-1

450 CLS»3:L0CATE #3,1,1 :F0R l^it*b T0 El
+2i:PRINT*3,USINS'H';ï;;!F i=yl T>B! y=
VP0Si*3)-i
460 NEXT i
470 CL5:d2=xl:d3=shL0»TE fi],l,l:LOCfiT£

«4,1, ÏiLOCATE #5,1,1
4B0 IF a>0 THEN CLS*4:F0fi yl=l T0 b:F0R
xl=d+c T0 ix-c+liE=4îSfl5WB 540:NEXT xl:P
RINTi4:!CXT yl

490 IF b/0 THEN aS#5;F0R y!=di*b T0 MIN
lfinI.dl+23-b>:F0R xl--l T0 cie=5:G0SUB 5
40:N£XT xî:NEXT yl

500 e=0:F0H yt=dî+b T0 MIN!lial,dl*2il:p
o=l:F0fi xl=d+c T0 ixi IF MIDî(A$m,¥i),
310" THEN L0CATE po, ¥î -rfi * I -b : G0S-JE 54

510 P0=Pû+!ftL<a*(xî,G)h?OT stîîNEXT ul
520 Ki=o2îyl=S:IF xi=û GOTO 35G EL5E «=

530 RETURN

540 RECM M^s en fera* des dointes

550 5=0:vlï-":vt=MIDt(aîùl,ul),2;:;i=W

L(a*lxI.0)):5Î=LER*!s$(xl,yn,li:IF sî=

" THEN s*=aïi0.i>

560 IF ïî=" THEN 5*=a*!Q,n:PRÏNT Se.SP

AC£t(lïl;:RETURN

570 nd=ASC<sî>W0 10:vl4=v$

530 IF ASCivïK48 OR AStlv*>=64 GOTO 1%

590 IF VAL(v$K>0 E0T0 670

600» s=2

1022 FOR j=FINl T0 yl+t STEF-l:F0fi i=l T

TO FINfFÛS j=Q TO FINl!pRIMT#9,a$!i, j) :

È1P ON ASC(vî)-59 GOTO 630,640,650

FlN:aï!i,j^aï(i,j-l):NEXT i:NEXT j

NEXT jiffiXT i:CL0SEOUT:USNDOH SWAP S.lrfi

620 Vlï=tEFI*(V$+SPAŒ*(B0),H):G0T0 660

1030 FOB i»l T0 FINsai(i,yl)=":ffiXT i:E

ETURN .

É30 vH=HI0SCvi*SPACE*{fiOÎ,2,b)!fiOTO 660

0SJ! 470: GOTO 750

1390 MINDOH S«AP 0,1:OFENIN nf*:F0R î=0

640 vl*=FN cent*miDï(v*.2ï.h):GOT0 660

1040 FOR i=FlN T0 xl+1 STEP-UF0R j*I T0

TO FIN:FÛR j=0 TO FM:LIf€ INPUT»9,atii

650 vl$=SPAŒi(b-LEN{v$itî)-H1IB$[vt,2î:

Fim:aï(i,.jl=a$(i-l,jhî£XT jiNEXT i

,j):NEXT jîNEXT i:CtOSEIN:HINDOH SHAP 0,

S0Î0 66&

1050 FOR j=î 10 FINlîa*lKl.j)="îKEXT j:

1:Q0SUE 400:GÛTO 1680

660 PRINT te,vl*j:RETUfiN

SOSUS 47Q:G"0rO 750

1400 u*=e${5)

è70 IF s*=" * THEN s=l:5Ï=a*(C,l>:"* ; ASC

1060 ut=ȕ:GOT0 800

1410 RESTORE 2420:SOSUB 2320:60501 1580:

<st) WD 10

1070 yï=BÏ!3)

IF ASC(ai)=S7F TIEN u$=aï:50TQ 750

6B0 ÎF 5»=' ' THEN PRINT #e,LEFÎS(STRîiV

10B0 RESTORE 24GO:G0SUB 2320:S0SUB 1530:

1420 s$=u*

AL(v*))tSPACE*(80),h);:RETURN

IF ASClaï)=S7F THfN u*=b*jS0T0 800

1430 Î=1îOS choix 50TO 1440,1450,1510

690 vit=LEFT$<vi+SPACEï!S0!,h)

1090 ON choix 50TÔ 1100,1120

1440 as II:PHÏNT#1, "Titre : ' ',:n=ëiw=9t

700 IF A5C(sl)\10=l THEN ut=STRING*<h-MI

1100 FOR jsyl TO fini-lsFOR i=l Tù fin:a

SOSUB 24BQ:S0TQ 1410

N(h,nd),35)isî= , F'+FNtt!nS):IF nd>Q THEN

*[i,jl=a*(i,j+l):NEXT i:NEXT j

1450 ut=a$!2)

u*=«ID$t!i* t 2)+*.'+STRIN6S-fRb,35}

1110 FOR i=l TO fin:aï(i,fint)=":fOT i

1460 RESTORE 2430:60SUB 2320:50SUB 1580:

710 IF ASC!si)\10=4 THEN ut=STRING*(HAÏi

i&QSUB 400: RETURN

IF ASCU*)=i7F THEN u$=nt:G0T0 1410

h-5,m,35)+VMPïs**'B2'ïSQTQ 730

112G FOR i=xl T0 fin-l:F0R j=I T0 finha

147&si=u»

720 IF ASC(5t)\10=2 THEN uï=STRlNSÏ(fJ«!

ÏU,j)=a*fH-l,j):NEXT jsNEXt i

1480 ON choix GOTO 1490,1500

0,ti-nd-2),35)+ , « , +STRINSî!nd,35H-'%';EÎ=

1130 FOR j=l TO finl!flt(fin,j)=":NEXT j

1490 as ll:PRINTtl,'Nbre de caractères/

■p"4FHW(nd):PRI»T ie,USÎNG Uî;VAL(y»î*!

îGOSUB 400: RETURN

page s'iinmwFlQsGOSUB 2480iGOT0 1400

00;: RETURN

11*0 n=xls«=0:fiOSUB 23O0:dxl=I:50SUB 350

1500 as ti:PRINT*l, 'codes en decisal fx

730 PRINT te,USIN5 ut;VAL(vï)i

sdx 1=0: GOTO 400

xx-yyy.,.) :";:n=0:i=ll:GOSUB 24BO:SOT0

740 RETUR»

1150 u*=s*!5):ERASE nS:SOSUB 15S0:IF ASC

1400

750 RE» œenus

(al)=i7F THEN u*=ïiï:G0T0 800

1510 «ÏDTW 255:e=8:PRINT H8,CHfi*(«AL(fiID

760 KEY 150,CHRtl240):KEY 151,CHR*f241)î

1160 ON choix GOTO 1170,1180,1170,1190

*(at(0,lï),i,3)));:i=i+4:IF i<=L£N(a*(0,

KEY 152,CHR$l242)iKEY I53.CHRÎI243)

1170 a*(O,4î=STR*(yn:aS(0,6)=STRt(y):y=

Ul) SOTO 1510

770 RESTORE 2350:GÔSOB 2310:6ÛSUB 15B0;I

1:IF CH0IX<3 S0T0 1680

1520 PRINT#8,FN ceritS(at(0,9],VALia*iB,l

F ASCU*1=47F THEN RETURN

1180 aïfQ,3)=STR*lxl)ïaïiD,5)=STR$ix):x=

Q))):PRINT#3:PRÏNT#8

780 ON choix SOÎ0 790,1200,1320,1360,140

IîSOTO 1660

1530 b=1

0,1560

U9D aïlO^Î^I'iaKO^^M'iaïlO^l^r

1540 FOR yl=l Tû finl:xl=«:WHILE xl<=fin

790 u*=n*(i)

ial(0.6)='l'!50SUB. t680:RETURN

AND POS(#eWAL(a*(HIN(xl+l,FIN),0)K u A

803 RE5T0RE 2360:SOSUB 2320:S0SUB 15B0:I

!20O u«=fl$(2)

Lfat(D,I0)):G0SUB 540:xl=xi+l:BEND:PRINT

F ASCfa»i=67F 50ÎO 750

1210 RESTÛRE 241D:50SUB 2320s60SUB 1580:

te,CHR*!13>;:NEXT yl:«=xlîIF B (Hn THEN

B10 i^u*

IF ASC(a$)=67F GOTO 750

PRINT*Ê.CHRIfl2)::GOT0 1540

020 ON choix GOTO 830,990,1070,1140,1150

1223bJ=u»

1550 GOËUB 16aO:RETURN

830uï=etU)

1230 ON choix SÛTO 1240,1290

1560 uï=H$(61

040 RESTORE 2370:6OS0B 2320:60SUE 1580:1

1240 bl=l:S0SUB B70

1570 RESTORE 2440:50SUB 2320:G0SUB 1580;

F ASCiat)=S7F THEN uS=Ht:S0T0 80O

1250 G0SUB 1700:IF EL=1 GOTO 1240

IF choix=i THEN RETURN aSE stodeUEND

850 M=u*

1260 SOSUS 1820

1580 REM choix dans un tenu

B60 ON choix 60T0 870,950

1270 FOR i=bl TO b3 STEP (S5Nib3-hl) OR

1590 l=LEN(utl:n=û:choîx=l

B70 RESTORE 2380î50SUB 2310:G0S0B 1530:1
F A5C(a$l=i7F Th£N u*=«t!50T0 840

lïïFOIÎ j=b2 T0 o4 STEP !SGN(b4-b2) OR 1)
ia*(i,j)=f*+r1IDî(aïU,j>,2>:NEXÎ jiNEXT

1600 IF N>=L THEN N=0!CH0IX=t

BB0 ON choix 60T0 B90,9GD, 930,900
890 f *=' " iGÛTO 94S

1280 xi=x:G0SUB 47QiRETURN

900 O.S #l!PHIMT#!,"no»bre de décimales
:"iVAL(RIfiHT$Ut(0, 11,11)!' "iîINPUT

1290 60SUB I7D0jGOSUB 1820

1300 FOR i=bi T0 b3 STEP iSSN(S3-bl) OR

O OCCCl HOC

«.•nouvelle valeur :*,ft:0N choix-1 50
TO 910,1,920

1):F0R j=b2 TO b4 STEP ISGN(b4-b2) OR 1)
:aS(i,jl=":NEIT jîNEXT i

inFDRnim'iauE

910 f$=CHR»iiO+VAL!f*)!:GOTO 940

13 10 GOTO 1230

920 rt=CHfi*(20+VAL(f*n:Ë0TO 940

1320 r=l:GOSUB t700:bll*=bl2*:r=0:GÛSUB

930 fJ=CHRïl*2l

1820:al=bl:a2=b2

| 940 IF El=l THEN RETURN aSE aSi0,!)=fii

1330 BLOC=l:BL=i:CLSil:PRINTSl,'C0ORD0NN

AMSTRAD

G0SUB *00:RETURN

EES ARRIVEE : , :G0SUÎ 1730:50SUB 1S20:A3=

COMMODORE

950 n=O:»=0:6ÛSUB 2300

960 FOR 1=1 T0 fin:AI(I,0!=aSiO,Q):NEXT

B2:A4=B4

1340 FOR i=bl TO b3 STEP (S6N(b3-bl) OR

THOMSON

i:h=VAL(a*(0,0))

11:F0R j=A3 TO M STEP (S5N(b4-b2) OR 11

nombreux logiciels

970 h*=FN cent*{'î , ,hhd=hxl=l:S)SUÎ 40

iGOSUB 191Q:NEXT j:NEXT i

1350 dx=Q:dy=0:XI=X:GOSU! 470:RETUfiN

et livret

930 RETURN

1360 u*=Kiil4):i*(l)=":sï{2)=":G0SUB 15

990 uS=uS(2)

30:IF ASC(at)sS7F THEN uï=mt:G0TO 750

1, rue Barbotin

1000 RESTORE 2390:GOSUB 2320;GOSUB 1530:

1370 LOCATE iI,l,2:3NPUT il, 'Nos du iicb

79300 BRESSUIRE

IF ASC(a*)=47F THEN ut=ȕ:G0T0 800

ïer :';nf*:IF choix=l GOTO 1390

Tél.: |49| 65.26.36

1D10 ON choix 6GTÛ 1020.1040

1380 HINDOU SWAP 0. 1:0PEN0UT nft:F0R i=0

1610 NÎ=INSTIH»+1,U«," *UW «1=0 THEN N

1820 REM décodage d'un bloc

+I):ûOSUB 1840

1=4.*!

1830 bl=ASC<LEH$fbIlï,l))-64:b2=VAL<RÎS

2240 opa=¥AL(opi}:SflSUB 2ttf

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2300 G.S#1:PRINT»L' largeur coïonite s';:

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1BS0 IF VAL(op2t)>0 THEN opS^IDï!v»,2,d

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1690 U!ND0W«l,3+a,8O,4+b,25:WINDCy#l,ï,8

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Q.l, 2: WINB0H#2, 3+a.80,3, 3:ttINBOtf#3 t 1,2,4

1900 RETURN

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2320 Ï=I

,3+a,4+b,25:50T0 400

Ki,j),2)!lF at!i,j)=" THEN at(i,j)=' '

2330 READ Mi(I):I=I+l:IF «SCMIÛT/ 50

1700 REM POINTAGE D'UN BLOC

TO 2330

1710 ÎL0Ol:bl=l

1920 IF ASC(v*l=64 THEN GOBUF 1840;a*ii,

234D RETURN

Ï720 CLS*I:PRINTH, "coordonnées du bloc

j)=LEFT*(a$<al,a2!,7)+CHR*!bl+i-ai+64)+S

2350 DATA feuille bloc copie fichier isp

TRïIb2+j-a2)+'.'+CHR*(b3+i-ai+641+STRÏ!b

ression fin, global insert efface largeur

1730 LOCATE ll,IB*(bl*4J,l;PRlNT#l,CHH*i

4*j-a2)+'l"!RETURN

-colonne titre, forsat effacefrent.CBpie d

6*+xl)iUSINS , « , ;yî;

1930 IF ASCfv$K48 THEN 60SUB iE30:aî!i,

'un bloc, lecture sauvegarde, titre config

1740 SOSUÎ 150

j)=a*{i,j)+opl*+CHRï(ASC(Dp2St+i-an*HID

uraticn exécution, non oui.O

1750 IF bîU=CHR«(64+nl)+STR*(yI) TK£fJ b

$(STR*(VAUap3S)+j-a2),2):v*=MnW!vS,dDp

2360 DATA forsat largeur-colonne, ligne c

loc=2

»!dop=2;50T0 1930

□lonne, ligne colonne, codifie la laroeur

1760 IF ASCiat)=S7F THEN bI=l:bîoc=D:RE7

194Q IF dop<>2 THEN a*(i,j»a*(al,a2)

de la colonne ou se trouve le curseur, li

m

1950 RETURN

□ne colonne les-deux efface,0

1770 IF ABC(â*)=l3 THEN bl2t=CHHJi64+xl)

1960 'opérations

2370 DATA format d' i»pres5iom de tous le

+STR*(yiJ:bI=Oïbîcc=D:bIi«=bl*ïRETURN

1970 ca=0:«=-l

s chiffres, modifie la largeur de toute 1

1780 IF r=l AND at=V THEN PRINT CHRI'7

i960 opt=0:dop=l

es colonnes,0

):60T0 1800

1990 U4ILE dop<LEN(v«)îrt=«ID«(v*,oop)

2380 DATA aérerai fixe monétaire pourcen

Î790 IF ■***,' ÏÏEN bloc=2:bl=2:Bl$=CHR»

2000 IF ASC(v*)=64 THEN 50T0 2170 ELSE d

taoe,ne change pas la donnée, virgule fia

(64+xli+STM(yl):PRiNT(tl, , , , i :S0SUE 2450

od=2:S0SUB 1850

ttante.sous fome de francs, sous forae d

ilF *SCIa*K123 THEN PRINTtl,a*;ïLINE IN

2010 IF ASCiop$)<48 OR ASClopt}=64 THEN

e pourcentaoe.O

PUT *!,M:bl2*=UPPER»(a*)+' *+b$:bl=0:bi

SOSUE 2260

2390 DATA insert une ligne avant le curs

oc=0îbll«=W$:Œ7URN ELSE 60BUB 160

2020 opa=VAl(opï):GOSUB 207Q

eur, insert une colonne avant le curseur,

1800 alW»

2030 WEND

1BI0 60Î0 1730

2040 IF ca=l THEN RETURN

2400 DATA efface la ligne sous le curseu

2060 IF opl(='sus* THEN RETURN

2070 ON ASC(opl$)-41 60TO 2090,2110.1,21

efface les données d'un b!oc,0

S'ils sont quelque part

30,1,2150
2080 RETURN

2420 DATA entrée d'un titre, cp/ï ignés co
des, lance 1' impression,

c est chez

2090 REM «implication

2430 DATA nbre de caractères/ ligne, envoi

Aticwfi&tie j

2100 oot=opt*opa: RETURN

de caractères de contrôle,

2110 REM addition

2440 DATA revient au taoleau.retourne au

u

2120 opt=opt+cpa: RETURN

basic.O

2130 REM soustraction

2450 a»=INKEY*:IF a$=" SOTO 2450

AMSTRAD 6128

2140 opt=opt-opa; RETURN

2460 RETURN

AMSTRAD 8256

2160 opt=opt/opa;RETURN

90

2170 REM opération diverses

2480 cl=P0S{#l):PRINTH,aîin,n)i!60SUB 2

et les derniers logiciels.

2180 SOSUÎ lS4G:opl*=f11M!v*,I,3>

2190 IF opl*= , sum* GOTO 220D

S(ll):PRINT*l,CHRI<20);aî;:INPUT il,",t

2200 i(m+i)=bl!j(*+li=b2

*:a!(n,«)=êi+t*

2210 WHILE i(si+l)<=bj

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G ne soyez plus collé à f écran, rallonge 1 30 F

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Vous permet de connecter votre AMSTRAD à

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Mode de paiement : □ chèque / □ mandai / □ contre-remboursement (prévoir 20 F de frais) - envoyer le

: ORDIVIDUEL 20. me de Montreuil 34300 VINCENNES.

Ceux d'entre vous qui ont fente de foire une représenta-
fion graphique d'un ensemble de données et ont connu
les affres des paramétrages X/Y, des graduations d'axes
et des décalages en tous genres. Finis, ces casse-fêtes .'

Ce logiciel se charge de tout. Il
trace les axes, les graduations,
leurs valeurs, les légendes, les
unités, le titre et bien sûr la
courbe en haute résolution ; à
l'écran et si vous le désirez sur
imprimante. A partir de quoi ? Au
choix : des données entrées en
désordre, ou bien une formule
mathématique même ultra
complexe ! Ajoutons à cela les
options sauvegarde/chargement,
l'accès aux coordonnées polaires,
les modifications d'axes et les
sécurités pour étourdis. Un rêve
tout cela ? Non, mais 9000
octets à taper...
Ce n'est pas un gadget, c'est un
vrai utilitaire.

L'ESPRIT

DU PROGRAMME

Pour se "promener" dans ce logi-
ciel, il suffit d'avoir toujours en
tête la chose suivante :
Le tableau des données à repré-
senter sous forme de courbe est
totalement indépendant de l'en-
semble des paramètres de tracés
(limites d'axes, légendes, etc.).
Autrement dit, on peut conserver
nos axes pour d'autres données,
ou changer les axes pour ces
mêmes données. Souplesse
totale et "bidouilles" sans limi-
tes...

C'est le sous-programme TRACE
qui assemble ces deux domaines.
Il peut enchaîner sur un "HARD
COPY" d'écran sur imprimante
(utilisant les codes standard
EPSON).

Les options fichiers (sauvegarde,
chargement) ne concernent pas
l'image d'écran, ce serait long
(16 000 octets) et absurde : ce
sont les valeurs de ces deux
ensembles. Après chargement, il
suffit de demander l'option
"Tracé" pour retrouver le graphe
en moins de cinq secondes.
Le programme est conçu en
"structuré", c'est-à-dire que cha-
que module est appelé par
GOSUB du MENU (lignes en
1 000), pour revenir à ce menu.

Rassurez-vous, il n'est pas obli-
gatoire de tout retaper. Vous
pouvez vous dispenser du

module "Instructions" (1500) et,
si vous n'avez pas d'imprimante,
des modules 1 1000 et 58000.

La définition des axes

(option A, lignes 2000 à 2600)
On vous demande d'entrer les
limites mini et maxi pour les axes
"X" (horizontal) et "Y" (vertical)
du graphique. Deux impératifs :
— il faut que ces valeurs ainsi
que leurs différences (dX, dY)
soient des nombres entiers
( = non décimaux) avec au maxi-
mum deux chiffres "significa-
tifs". Exemples : 0, 1 , 23, 460,
-65000. Sont interdites des
valeurs telles que 2.5,11 5, 2050
ou 0.5. Le risque serait d'être
piégé par ia différence. Exemple :
mini = 25, maxi = 140, mais la
différence est 115 : le pro-
gramme vous le signale, et vous
renvoie au départ.
On demande également (faculta-
tifs) un titre, légendes et unités
d'axes ; ils apparaîtront sur le gra-
phe. Puis, le programme établît
ses coefficients de traçage (lignes
2200 à 2600). Voir ia liste des
variables.

Le tracé des axes

(lignes 3000 à 4200)
C'est très complexe, mais rapide.
Le logiciel trace les axes X et Y,
puis, a l'aide des coefficients pré-
cédents, il détermine (en MODE
2) quelles vont être les gradua-
tions les plus rationnelles, aux
pas de 1 , de 2, de 1 0. Il trace les
petits traits de graduations, avec
des tailles différentes pour les
valeurs en '5" ou en "0",
comme sur un double décimètre,
fl écrit au-dessous (X) ou à gau-
che (Y) leurs valeurs bien cen-
trées en face du trait.
Pour la clarté de lecture, il n'écrit
que les deux premiers chiffres,
sauf trois pour le nombre "100".
Ainsi, une échelle de 63000 à
78000 sera "numérotée" de

"63" à "78" ; mais les limites
réelles* 63000-78000) seront
rappelées à côté. En revanche,
une échelle de -3 à + 10 sera
effectivement numérotée de -3
à + 10. Tous les "cas de figures"
ont été envisagés afin de fournir
des graduations claires et lisibles
(ce fut d'ailleurs un sacré casse-
tête).

L'entrée des données

(lignes 5000 à 5400)
C'est un écran de saisie à trois
colonnes, le numéro (affichage
automatique), valeur X, valeur Y.
En fin de saisie, entrez en X la let-
tre "Q". Le nombre maxi de
points a été fixé à 102. Vient
ensuite le tri de ces données en
valeurs croissantes de X.
Vous venez de remplir le tableau
DIM PT(102,1) (PT venant de

"Points"). En "colonne" zéro, la
valeur X, en colonne 1 , la valeur
Y. Le nombre NF est le nombre
de "points", de "lignes" dans ce
tableau.

L'entrée de formules

(lignes 6000 à 7010)
Un luxe que peu de micro-ordi-
nateurs autres que l'AMSTRAD
peuvent se permettre ! Une curio-
sité du CPC est que l'on peut l'ar-
rêter (par END ou ESC), modifier
ou ajouter une ligne de pro-
gramme, et repartir par un GOTO
sans prendre les variables en
RAM (essayez donc cela sur un
autre... ).

On stoppe par un END (6080) et
on vous invite à entrer la ligne
7000 contenant votre formule.
Ceci fait, tapez ENTER, puis le
point décimal du pavé numérique,

LEGENDE DES VARIABLES

C$

Chiffre droite de graduation

D$

DONNEE entrée

DX, DY

DELTA X,Y

DXE, DYE

DELTA ECHELLES X,Y

FAXY

Flag axes X,Y définis

FICHS

Nom du fichier enregistré

FIMP

Flag demande impression

FQ

Flag demande de quitter

FTRA

Flag demande de TRACE

H

Hauteur d'un repère

I, K, N

Eléments de comptage

LQX$, LGY$

LEGENDES X, Y

MINY, MAXY

MIN, MAX des Y calculés

MX, MY

MAXI X, Y

MXE, MYE

Maxi échelle X, Y

NF

Nombre total de points

OX, OY

Origines X, Y

OXE, OYE

Origine échelle X, Y

PT (102,1)

Coordonnées des POINTS

RGX, RGY

Rapport graphique

RGXE, RGYE

Rapport graphique d'échelle

ST, STX

STEP de FOR NEXT

TEX$

LISTE d'OPTIONS

TITS

TITRE du graphe

UXS, UY$

UNITES X, Y

VG

Valeur d'une graduation

Z

Valeur de X dans PTI1.0)

ce qui équivaut à GOTO 6500 +
ENTER (voir ligne 120). Votre
échelle des X va être divisée en
100, donc 101 points calculés
par votre formule.
En lignes 6530 et 6550, vous
pourrez vous étonner que l'on
remplace la valeur de X par Z
avant calcui. C'est une astuce qui
va nous servir pour des "cas spé-
ciaux" que nous verrons plus
loin.

A mesure que cette formule rem-
plit notre tableau PT en Y calcu-
lés, les variables MINY et MAXY
gardent en mémoire la valeur mini
et la valeur maxi de ces Y.
En fin de calculs, ils sont affichés
et s'ils débordent de vos prévi-
sions, vous avez la possibilité de
redéfinir les caractéristiques de
l'axe des Y.

Le tracé

(lignes 8000 à 8200, option T)
Très court puisqu'il reprend le
tracé des axes en enchaînant sur
des DRAW de "point en point".
Durée moyenne une seconde et
demi...

1 ARCHAMBAUL T' ^^_^ ,^_^_ J |

rRACEUR DE( GRAPHIQUE

EVOLUTION DE L'EFFECTIF DU CLUB
Numera X Y

SECIZUJt 228 ItOLTS

ANNEE ADHERENTS

?t.00B

49.00a

75

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Bl

000

19.000

B2

000

04.000

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25.000

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000

48.000

Bb

000

57.000

UTION RE l/DTKT» BU CLUE

-3(8 H 388 : «tClï M PHASE

iKiï^(i«/72fl)»sm<*)iZ:cos(X)!iii.v?îa>

Quand on l'a assez vu, on appuyé
sur une louche quelconque pour
revenir au menu.

Sauvegarde et chargement

(lignes 9000 à 10500)
Ces modules sont conçus pour
cassette et disquette, donc' le
nom du fichier est obligatoire. A
la sauvegarde, si vous répondez
par ENTER, le nom est constitué
par les huit premiers caractères
du titre TIT$. L'extension
".GRA" est ajoutée par le pro-
gramme.

Impression

(lignes 11000 à 11620)
Deux variantes : la liste des don-
nées (pour toutes imprimantes)
ou le Hard Copy d'écran. Celui-
ci utilise la fonction TEST ; son
tracé est très fin, mais il est long,
environ neuf minutes.

L'UTILISATION PRATIQUE

Rappelez -vous l'issue de
secours : touche ESC puis GOTO
1000 ( = menu), facile à retenir...
Le côté amusant est l'utilisation
de l'option F (formule). Nous
avons choisi trois exemples "par-
lants".
1 — Hyperbole : option A (axes,

définissez X et Y de 1 à 10.
Retour menu — option F. Tapez :
7000 Y=10/X.

ENTER puis point décimal du
pavé, retour menu, option T,
c'est tout.

2 — Sinusoïde : option A, défi-
nissez X de à 360 (degrés) et
Y de - 1 à 1 , puis option F.
7000 DEG:Y = SIN<X)

Enter, point décimal, menu,
option T.

3 — Cercle. Ça se complique un
peu...

Option A = idem que précédem-
ment. Option F, entrez :
7000 DEG:Y = SIN(X):Z = COS(X)
Puis retour menu (option N). Le
tableau DIM est correctement
rempli, mais l'axe des X (de à
360) ne convient plus du tout !
Donc, de nouveau option A : X
et Y, tous deux de - 1 à 4-1.
Menu, option T.
Mais, c'est une ellipse ! Oui, car
les échelles n'ont pas le même
"étirement". Remédions à cela :
retour menu, encore option A : X
de - 1 à 2 et Y de - 1 à 1 .
Menu, option T : oh, le beau cer-
cle !

Résumons la manœuvre : X (de
à 360°) a servi à faire 101 cal-
culs de Y, mais c'est Z = COS(X)
qui est logé dans le tableau DIM.
Lorsqu'en option A, on définit les
limites de l'axe X, ce sont ses

limites pour le calcul ; libre à
nous, une fois le tableau rempli,
de modifier les limites de X (ou de
Y... ).

CONCLUSION

La sortie instantanée de graphi-
ques va séduire beaucoup d'en-
tre vous, mais je sens que nos
amis matheux vont "sortir" autre
chose que cercles ou spirales
avec des lignes 7000 longues,
longues... Envoyez-les nous !

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PENO

230 LOCATE 5,10:PRINT "Michel Arctambaul

t - 11 / 1985"

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enu ' , :TE(i= , IM*j50SUB 50000

250 PAPER D:PEN 1:IF K=i THEN SOS

1000 'MENU

101D INK 0.1: INK 1.2*: BORDER 1

1020 «ODE 1:CLS

1030 PEN 3:L0CATE 2.2:FRÎNT 'T R A C E U
; R DE GRAPHIQUE B*:PEN 1

10*0 LOCATE 10,5:PRINT "A - DEFINITION D
1 ES AXES"

10*5 LOCATE 10,7:PRINT 'V - VISION DES A

XES"

105D LOCATE 10,9:PRINT 'D - ENTREES DES

DONNEES"

1060 LOCATE 10,1 IïPRINT "F - ENTREE D'UN

E FORMULE'

1D70 LOCATE 10,13:PRINT "1 - TRACE DU SR

APHIQUE"

10b0 locate 10,15:print 's - sauvegarde'
1090 locate 10.17:print 'c - charsement'

: 1095 locate 10,19:pr1nt ■] - imprimer"

■1100 locate 10,21îprint "q - quitter"
1110 pen 2:text='avdftsciq":g05ub 50000:

;pen 1

i 1120 on k g0sub 2000, 3000, 5000, 6000,6000

,9000,10000,11000,12000
' 1130 GOTO 1000

2000 'ENTREE DES CARACTERISTIQUES

2010 CLS:FTRA=0

2020 PEN 3: LOCATE 1, IiPRINT 'Nombres

iers/2 chiffres sianif icatifs':PEN 1

2030 PEN 2:L0CATE io,3:PR!NT "AÏE X I hc

rizontal I:':PEN 1

20*0 LOCATE 10,5 : INPUT'Limi te X MINI: "

OX*:OX=VALiOXt>

2050 LOCATE 10,6:INPUT'Li*ite X KAKI: "

KXÎ:KX=VAL(MXï)
;2060 DX=MX-0X:IF DX<=0 THEN PRINT CHSii

) :G0T0 20*0

2070 IF VAL(MID*(STRtlDX),*,lil >0 THEN

PRINT CHR*<7);"dX a 3 chiffres siquific

tifs:';OX:FQR 1=1 TO 6OG0:l£XT;G0T0 2000

2060 INPUT" LEGENDE X: ",L6XÎ

2090 INPUT" UNITES X: ",UX$

2100 PEN 2:L0CATE 10,1D:PRINT "AXE Y

ertical >;':PEN 1

2110 LOCATE 10.12:ÏNPUT"Li!site Y MINI

,0Y*:0Y=VAL10Y*>

2120 LOCATE lO,13:INPUT'Liidte Y «AXI
,HYÏ:MY=VAL(MYt)
2130 DY=MY-0Y:IF DY<=0 THEN PRINT CKRÎI7
):50T0 2100

21*0 IF VALfMID*ISTRi(DY),4,l)) >0 THEN
PRINT CHR$l7);'oY a 3 chiffres signifie;
tifs:';DY::F0R 1=1 T0 6000: NEXT: PRINT CH
RJ(17):60T0 2100
2150 INPUT' LEGENDE Y: ',LGYÏ
2160 INPUT" UNITES Y: ",UY*:PRINT
2170 INPUT* TITRE DU GRAPHIQUE: \TITt
2200 'COEFFICIENTS X
J2210 RGX=520/DX
2220 DXE=-VAL<LEFTt(S7R$(DX).3i)
2230 IF DXE=1Û AND DXO10 AND Oï=û THEN
DX£=100 ELSE IF m<ill M0 DX<5 THEN DX
E=DXE*10
22*0 RX=DX/DXE
2250 RSXE=520/DXE

2260 OXE=H0UND!0X/RX):rlXE=R0UND!KX/Rïl
2300 'COEFFICIENTS Y
2310 RSY=33D/DY

2320 DYE=VAL(LEFT*'STR!.<DY1,3>)
2330 IF DYE=10 AND DYOlfJ AND 0Y=D THEN
DYE-100 ELSE IF DYEaO AMD DY<5 THEN DYE
=DYE<10

2340 RY=DY/DYE
2350 RGYE=330/DYE

2360 0YE=ROUND<0Y/RY):MYE=ROUND(MY/RY)
2500 PRINT:PRINT TAB(6); , Ccrnger,VDir 1
es axes, Menu ?"

2510 PEN 2:TEX»="CVr!':G0SUB 50000:PEN 1;
FAXY=1

2520 IF K=l THEN 2000
2530 IF K=2 THEN FTRA=0:GOSUB 3000
2600 RETURN
3000 'TRACE AXE X
3070 MODE 2:INK 0, 13rINK 1,0:0.3
30S0 LOCATE 15.25:PRINT OX;" ";CHflt(242
;CHR»I2*3>;' '-M;' ! ";LSI*
3090 LOCATE 7S-LEN(UXÏ),25tPRINT UXÏ
3ÏC0 LOCATE 13+(65-LEN(TIÏÏ> !/2,2:PRINT
TIT*

3110 PLOT 100,4S.1:DRAWR 520,0
3120 PLOT 100,*S:DRAWR 0,333
3130 FOR 1=0XE TÛ MXE;H=5
3135 Ve=VAL(LEFT$(STftt(IÎ,3)iiIF I=MXE A
ND MXE>99 AND VG=10 THEH VS=1D0
31*0 Cï=RIGHT$<STRî(VS),l):IF Ct="5" THE
N H=10

3150 IF CS='0" THEN H=15
3160 PLOT 10O+tI-0XE>*RSXE,48;DPAWR 0,
3170 IF #»13 OR DXE<20 THEN PLQTR -12-
<LEN<STRf (VG> 1-2) ,-(H*5 I :TAG:PRINT VG; :T
AG0FF
3IB0 NEXT
*000 'TRACE AXE Y
*07G LOCATE 2.2:PRINT UYtiPRINT; PRINT MY
:PRINT:PHINT " ";CHRK254>:PR1NT:PRINT
YiPRINT

40bo for 1=1 to len il6yî1:print spci5

m:d$(lgyï,i,ii

4090 NEXT

4100 IF DYE>50 THEN ST=2 ELSE 5T=1
4110 IF ST=2 AND 0YE/2OINTI0YE/2) THEN
OYE=0VE-l;DYE=DYE+l
4120 FCR I=QYE T0 MYE STEP ST:H=5
4125 VG=UAL(LEFTS(STR$1I),31):IF I=MYE A
ND J1YE>99 AND VG=10 THEN «6=100
4130 CÏ=RIGHT$(STR*(VG),li:IF C*=*5' THE
N H=10

41*0 IF Ct='0" THEN H=15
4150 PLOT 100,48+(I-OYE)*RGYE:DRAWR H,0
4160 IF H=15 OR DYE<20 THEN PLOTR -H-12-
8*LEN(STRi(VG)),4:TAG:PRINT VG;:TAS0FF
4170 NEXT

*180 IF FTRA THEN *200
4190 CALL &BB06
4200 RETURN

500G 'ENTREE DES DONNEES
5005 WINDOK ttO,l,40,7,25:CLS
5010 HINDOU #1,1,*0,!,6:CLS HiSOBDEfi 2
5020 LOCATE «1,2,2:PRINT fi, 'ENTREE DES
DOMES ( Q POUR QUITTER 1"
5030 LOCATE il,2,*:PHIN7 ll.'Num' ;SFC( 13
);"X"iSPC(14};"Y"
5040 PRINT #l,STRINGi(*0,'_")
5100 I=UB=t
5110 LOCATE 1,H:PR1NT USINS *##*» , ;i;:Pfi
INT SPCU3)::INPUT",D»
5115 IF UPPER$(Di)='Q' THEN NF=I-l:G0TO
: 5200
5120 IF VAL(M1=0 AND DÎO"Û" THEN PSINT

CHSï(7):GOT0 5110
5130 PT(I,01=VAL(D$1
51*0 LOCATE 33,H:INPUT ",Dt
5150 IF VAL(DS1=0 AND DtO'O' THEN PRINT

CHRi(7l:G0T0 5140
5160 PT(I,ll=VAL(Dt)
517D I=H-1ïH=H+1

5100 IF I/1S=INT(I/18) THEN CLS:H=1
5190 GOTO 5110
5200 HIND0W «0.1,40,1,25:0.5
5210 BORDER 1:PRINT:PRINT " PATIENCE .

53CO 'TRI PAR X CROISSANT

5310 F=0: FOR J= 1 T0 NF

5320 IF PT(J.0)>=PT(J-1,0) THEN 5360

5330 FOR R=0 TO l;PT(0,R)=PT(J,R):PTiJ,R

)=PÎ(J-1,R)

5340 PTIJ-l,R)=PT<0,R):NEïT:F=l

5360 NEXT

5370 IF F*j THEN 5310

5400 RETURN

6000 ' FORMLILE

6010 CLS

6020 IF FAXY=0 THEN PRINT CHRS(7);"IL FA

UT D'ABORD DEFINIR LES AXES ":F0fi

=1 T0 3Û0O:NEXT:RETURN

6030 PEN 3:L0CATE B,3:PRINT *Le Proçra

e est ARRETE :':PEN 1

60*0 LOCATE 2,7:PRINT 'Entre: la Formule

en ligne 7000. Ex :'
6050 LOCATE 13,9:PRINT "7000 DEG:Y=SIN(Ï
J"
6060 LOCATE 2,13:PRINT "ENTER , puis le

. du pave mjiaerique'iPRIfiT

6QB0END

È500 PRINT: PAINT ' PATIENCE .

6510 K=i:STI=DX/100:IF INT(STX)=STX THEN
K=0

6520 I=0:FOR JN» Tû HX+K*STI STEP SÎX

6530 I=I+1:Z=Ï

6540 GOSUB 7000

6550 PT(I,Q)=Z:PÎ(I,1)=Ï

6560 IF 1=1 THEN MINy=y : KAXY=Y : SÛTO 65=C

6570 HINY=h*IN!Y.r1INY)

6530 MAX¥=MAX(¥,MAÏ¥)

6590 NEXT:NF=I
. 6600 CLS

6610 LOCATE l,5:PflINT "Les calculs de ï
Jjdetinent ces limites :'

i>20 PRINT:PRINT ■ ami =*;MINV
16625 PHINT:PR!NT ' MAÏI = ';rttïY
J6630 PRINT:PRINÏ 'Vous avie: prévu ds';

î'iMY
|6M0 LOCflTE 4,20:PRINT 'VOULEZ-VOUS BEBE

FINIR LES AXES ?"
I665D TEXt=" ON": GOSUB 5DQ00

6660 IF K=l THEN CLSïFTfiA=0;SOS*JB 2100

6700 50TO 1000

6??0 'FORMULE ENTREE A LA MAIN:
J70C0 V=10/ï

7010 RETURN

8000 'TRACE'

8010 FTRA=::GOSUB 3000

8100 PLOT IQ[rMPÏU.D)-OX)»RGMa+<PTil.

1)-0Y)*R6Y,1

B11D FOR 1=2 TO NF

B120 DRAW 10Ch-(PTU,0)-0X)*RSX,4BKPT(I,

1)-0Y)*RGY,1

B130 f£XT:IF FIftP THEN 82C0

B150 CALL HB06
B200 RETURN

9000 'SAUVEGARDE

9010 aS:PEN 3:L0CATE 16,3:PRINT 'SAUVEE

ARCE'îPEN 1

9020 LOCATE 1 1 , 17: PRINT" ( Q = Retour I

U 1'

9030 LOCATE 13, 13: INPUT'NCW: '.FICHÏ

9035 IF FICHÏ-" THEN FICHÏ=TITS: IF TITJ

=" TKEN 9000

9040 FICrH=UPPER*(FICHtl:IF FICH*='

EN 9500

9050 FICHi=L£FT* I FI CHÎ, BH-" .eflA'

9060 OPEWOUT FICHt

9D70 WRITE#9,TITJ,NF,0X,MX,L5!(i.UX*,0Y,M

Y,LSY*,UY*

9090 URITEt9,FAÏY,DX.RGX,0XE,MXE,EXE.RGX

E, DY, RSY, OYE, KYt, DYE, RGVE

9090 FOR 1=1 TO NF:yRITE#9,PT(I,0),PT(ï,

1):NÈÏT:CL0S£QUT

9500 RETURN

100Û0 'CHARGEMENT

1001D CLS:PEN 3:L0CATE 1É.3:PSINT 'CHARS

EMENT'iPEN 1

10020 LOCATE 1 1 , 17: PRINT" ( Q = Retour i

NU )'

10030 LOCATE 13,13;INPUT'NOM; ', FICHt

10035 IF FICriî=" THEN 10000

10040 FICHt=UPPERt(FICHt):IF FICHS=*Q" T

HEN 10500

? 10050 FICHt=lEn*(FICHt,BI+'.GRA'

; 10060 ÛPENIN FICHt

10070 INPUTI9,TITt,ff,0X,MX,LSXt,UXt,0Y,

MY,LGY*,UYt

10080 INPUT»9.FAXY,DX,PSX,0XE,rlXE,DÏE,

XE,DY,RGY.0YE,MYE,DYE,R6YE

10090 FOR 1=1 TO NF:INPUT*9,PTU.0) 1 PTU

,l!:NEXT:aOSEIN

10500 RETURN

11000 'IMPRESSION

11010 CLS:FO=Q

11020 LOCATE 5,5:PRINT 'SI L'IMPRIMANTE

EST PRETE ...'

11030 LOCATE 10,9:PRINT 'D - LISTE DES

«NEES"

11040 LOCATE 10, H:PfiIPfT *G - GRAPHIQUE'

Î1050 LOCATE 10.13;PRINT 'Q - QUITTER 1

11060 TEXt='0G0'i50SUE 50000

11070 ON K GOSUÏ 11200,11400,11600

11075 IF FQ THEN FO.=0:QOTO 11500

11090 GOTO 11000

11200 'LISTE

11205 PRINT*9,CHRt(271;CKRt(64);

1121D PRINT tB,SPC((40-LEN(TITt))/2)jT

t:PRINT 18

11220 PRINT #8,' Nmera';5PCllÛ];'X';SPC

(14):'Y'

11225 PfiINT«8.TAE(16);L6X*;:PRINTtta,TAB(
31);LGYt

11230 PRINT»a,TASU6l;UXtiîPRINT*3,TABI3

l>;UYî:FRINT*8

11240 FOR 1=1 TO NF

1125D PRINT 18, USING '«M'ilîîPRINT

,SPC1B);:PRINT i8,USING '«KStt.ttili'iPri

1,0);

11260 PRINT ta,SPC(5);:PRINT #8,USIN5 'I

H»#*.t»#'iPTU,l)

11270 NEXTsFÛR 1=1 TO 3:PR3NT #B:NEXT

11300 RETURN

11400 'HARD COPY

11410 FIi1P=l:S0SUB SOOO

11420 GOSUB 530GO:FIMP=0:PRINT (t8,CHR*i:

7)iCHRt(64);

11430 MODE lîINK 0,1:INK 1,24

U500 RETURN

11600 'RETOUR MENU

11610 FQ=1

11620 RETURN

12000 ' QUITTER

. 12010 as

12020 END

15000 'INSTRUCTIONS

15010 CLS

15020 FRINT ' Ce Logiciel dessine autûM
tiguenent Itsaxes 11 avec leurs graïuati
□ns , suivantles limites que vous au
» fixées, '
15030 PRINT " Les Données peuvent et
ntrees en de-sordre,il les classera i

issant.cubien par une foraule mathe-
ue. Le trace de la courbe est

ultra rapide."

15040 PRINT ' On peut Upriner le table,
des dormeesou le HARD COPY du graphiqi
Suivre l'ordre logique
iivant:':PRINT

15050 PRINT '[-Définir les caracteristiq
des Axes.2-Entrer les données ou h

Formule, 3-Trace du graphe, ':PRINT

15060 PRINT ■ On peut sauvegarder un gr

aqhe:Le NOM de ce fichier de donnée!

ut être le TITRE du graphe si vous

màez par la touche ENTER a la quest

NOM.'

15D70 PRINT ■ Si vdus «nez de recharger
un fichier- graphe,passez directement a
l'option T.':PRINT:PRINT ' PRE

SSE7 UNE TOUCHE,'

15060 CALL &B806

15090 RETURN

50000 'REPONSE A UN MENU

50010 LT=LEN(TEXt>:Rî='■

50020 LOCATE 15-LT, 24 :PR1NT 'Réponse l'j
50030 FOR 1*1 TO LT-1

50040 PRINT M3DJ(TEXt,l,l);',';:NEXT
50O5D PRINT RIGHTtlTEXt,l);'l , ;CHRt(1541

CHRt(243):CHRt(207)
50060 TEXt=UPPERt(TEXt)
50070 WHILE Rt=":Rt=INKEYt:lJEND
50080 fit=UPPERt(Rt):K=INSTR!TEXt.Rt)
50090 IF K=0 THEN Rt^'iPRINT CHR*
OTO 50070
50100 RETURN

5B000 'HARD COPY par TEST / EPSON
58010 PRINT SB,CHRt(27);CHRÏ(64);
58020 PRINT #8.CHRt(27l;'A'iCHRt(7
5B030 PRINT IB,CHRtl27) 'M 1 ;
5BD50 WIDTH 137
5B060 FOR 1=406 TO 14 STEP -14
58070 PRINT #8,CHRt(27)"L";CHRt(127);CHR
i(2);

FOR J=0 TO 63fl
58090 T=TEST(J,I)*64+TE5T(J,i-2]«32HEST
■4)*16*-TEST(J, r-6H9*TEST(,T,I-a)»4+T
EST ( J, I -1 ) *2+ TEST (J, 1-121
5B1CO PRINT #B,CHR*(T);:fCXT
5BU0 PRINT t8,CHRt(13):NEXT
58120 PRINT tB,CrlRtf27)iCHRtl64>;
5B130 RETURN
65535 ' FIN DE LISTING -

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mie de temps d

mble RSX bande à bande qui apporte ne
te NOMBREUSES POSSIBILITES pour votre CPC 464.
-"'- : 3ux logiciels pour un chargement avec une
• Choix de sept vitesses de sauvegarde 1
4 (XX) bauds • Pas besoin de SYCLONE pour le rechargement à .
:ene • Lecteur global d'en-tête • Commandes disponibles à pô
BASIC • Chargement et impression de programmes BASIC sauveg;

TRANSMAT

Permet le transfert facile sur disques d
système à disques AMSTRAD DDI-1.
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global d'en-tête de disque • Adjonction éventuelle de réadressage • Pro-
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Mise à jour régulière des 4 premières éditii

PRINTER PAC 1

compatibles

in de système résidante qui ajoute £

.re CPC 464/664. Un ensemble â deux progra
mante AMSTRAD DMP1 (AMDUMPI <
ESPSON IEPDUMPL
* VIDAGE ECRAN dans tous les modes. Deux formats avec EPDUMP •
Vidage texte dans tous les modes ■ Trois nouveaux types de caractères
le DMPt • Préciser les encres de fond lia version 664 n'est pas dispo
ii cassette).

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dant qui apporte plus de 30 commandes
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.'-Viable de programme. Le SYSTEME X utilise ___
neures. identifées par la barre verticale "I" qui les précède.

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SCRIPTOR

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• Caractère à jambage inférieur • Futuriste • Italiques • Compatible avec
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LE PROGICIEL UTILITAIRE SUR DISQUE

QUE VOUS ATTENDEZ r ^«^ — I

ODDJOB I200 F|

Un utilitaire complet sur disqi.
que vous attendiez, le tout groi
tera. 39 k d'espace-disque utilisés.
Voyez plutôt les possibilités :

• Un éditeur complet, qui vous permet d'examiner le menu du dis-
que, et d'en modifier aisément le contenu^ ^_^

• De récupérer les programmes effacés. I M OLIVE AU

• De cacher des programmes du menu, l^*^

contenu d ..

• Faire un plar

; fiche

n ASCII

• Empêcher l'effacement involontaire des programmes.

• Un duplicateur de disque intelligent qui peut copier le:
endommagés/non standard sur un drive simple ou dou
■ Formatter deux fois plus vite sur l'un ou l'autre drive

• Transférer les programmes /fichiers dont vous vous
moins sur cassette pour récupérer votre espace disque

• Augmenter la vitesse de votre drive jusqu'à 20 %,

• Charger et lister les programmes en BASIC

• Toutes les instructions sont fournies sur disque sur

C

n

TOMCAT

DOUF TRANSMAT

SCRIPTOR

JRE ZEDIS

RSX SYCLONE 2

SYSTEME X

r |( . PRINTER PAC 1

ODD JOB

De nombreuses personnes ne semblent pas

avoir bien compris la protection des fichiers

sous CPM + . Voici quelques explications qui,

je l'espère, pourront les aider.

— Mettre en fonction la protection par SET

[PROTECT = ON].

Notons que l'inverse est : SET (PROTECT =

OFF|.

Protection d'un fichier

Pour protéger un fichier en lecture, la
commanda sera : Nomlichier.ext IPASS-
WORD = nom password] avec ext : com,

Pour l'exécuter, nous écrirons :
Norrvfichier.ext;nom password.
Attention aux fichiers qui demandent des
informations complémentaires. Ex.: OIR
(FULU. Il sera appelé par DIR;nom password
EFULL1- Le password se met donc toujours
après le nom du fichier ou de s

Pour supprimer le mot de passe, il suffira

SET Nom fichier. ext [PASS-WORD = ] ou
SET Nom fichier. ext [PASS-WORD = NONE].

Protection de
tout las fichiers

Par set.".(PASSWORD = Nompassword].
Attention à cette commande, car tous les
fichiers du disque seront protégés, y compris
SET.

Le lecteur s'assurera qu'il sait travailler avec
ce fichier, protection en service.
Il est possible de protéger ces fichiers en écri-
ture par :

SET. •. [PROTECT = WRITE] ou SET Nom-
fichier.EXTIPROTECT= WRITE!
Il n'est cependant pas possible d'avoir les
deux. Les fichiers seront protégés soit en lec-
ture [READI ou en écriture [WRITE]. La sup-
pression sera :

SET Nomfichier.EXTlPROTECT =] ou
SET Nomfichier.EXTlPROTECT = NONE|.
Pour plus de sécurité, il est possible aussi de
protéger, par un mot de passe, l'accès de
l'ensemble du catalogue du disque. Toutes
les modifications seront soumises à la
demande du password :
SET[PASSWORD = nom password]

SET [PASSWOROH.

Enfin, il est possible de rendre invisible un
fichier au catalogue par SET Nom. ext [sys] ;
pour le retrouver, faire SET Nomfichier.ext
[DIRI, ou encore de l'affecter en lecture seu-
lement par SET Nomfichier.EXTIRO].
La situation inverse sera : SET Nom-
fichier.EXTIRWI.

Notons que ces dernières commandes seront
possibles en CPM2.2 par l'utilitaire STAT.
Bonne Protection.

£sSTy£^s]

Vous avez sans doute regretté la désagréa-
ble absence de "lutins" (ou "sprites' en
anglais) dans le Basic de votre AMSTRAD.
Aussi, je vous propose un moyen simple et
rapide d'y remédier.

Vous connaissez le moyen de déplacer un
caractère ASCII, redéfini ou non, en utilisant
des coordonnées graphiques (sinon, consul-

i'jt ' 3

n I fin

TAGI. Cequt

le moyen de le superposer à n'importe que

autre dessin sans masquer tout ce qui s

trouve sous la matrice du caractère en quet

tion. Il suffit d'inclure, avant l'affichage d

caractère, la ligne PRINT CHR$I22ICHR$(1

pour remédier a cela.

PRINT CHR$(22,CHR$(0) provoquera I

retour à l'état normal.

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• IIMITIATIOIM
A L'ASSEMBLEUR

Denis BOURQUIN

Auparavant, nous introduirons
tout de suite une nouvelle ins-
truction assembleur qui nous sera
très utile par la suite. Vous avez
déjà vu, dans le manuel de votre
AMSTRAD, l'instruction Basic
équivalente : CALL.
Cette instruction permet d'appe-
ler un sous-programme écrit en
langage machine. En assembleur,
nous trouvons la même instruc-
tion qui permet d'appeler un
sous-programme, sa syntaxe
est : CALL adresse du sous-
programme.

Mats, qu'est-ce qu'un sous-
programme ? Nous dirons qu'un
sous-programme est un ensem-
ble d'instructions indépendant
qui se termine par une instruction
RETURN en Basic et RET en
Assembleur. En général, on crée
un sous-programme parce que
son bloc d'instructions doit être
utilisé plusieurs fois au cours d'un
même programme, ainsi il ne sera
pas nécessaire de le réécrire cha-
que fois, il suffira d'écrire CALL
sous-programme.
L'instruction CALL provoque un
déroutement du microprocesseur
à l'adresse codée dans les deux
octets suivant le code opération
de CALL.

Le microprocesseur exécute la
suite d'instructions trouvée et
retourne au programme principal
contenant l'instruction CALL qui
l'avait dérouté, quand il rencon-
tre une instruction RETURN.
Sur une instruction CALL, le Z80
sauvegarde dans .une zone
mémoire que l'on appelle la pile,
l'adresse de l'instruction suivant
le CALL. Ainsi, lorsqu'il rencon-

Après avoir passé en revue, dans le numéro pré-
cédent, les instructions de chargement, nous
allons les mettre en application avec quelques
exercices très simples»

tre l'instruction RETURN, il vient
rechercher l'adresse de retour
dans la pile: Le microprocesseur
gère la pile directement, mais
nous reviendrons dans un pro-
chain numéro sur cette notion de
pile. Il faut tout de même savoir
que cette pile a un pointeur qui
est le registre SP et qu'il est donc
nécessaire, dans un programme
utilisant des instructions CALL,
d'initialiser SP afin d'indiquer au
Z80 où se trouve cette pile. SP
doit prendre la valeur du haut de
cette pile et elle se trouve dans
une zone de la RAM disponible et
inutilisée. Pour la dimensionner,
il suffit de regarder le nombre
maximum de sauvegardes faites
à un instant donné dans cette
pile. Prenons un exemple : il reste
de la RAM disponible entre les
adresses 8000H et A000H.
Notre programme fera au maxi-
mum trois CALL imbriqués, c'est-
à-dire que, dans le premier sous-
programme, on trouvera un CALL
au deuxième sous-programme
qui appelera aussi le troisième. Il
sera donc nécessaire de disposer
de 6 octets dans la pile. Au début
de notre programme, nous pour-
rons initialiser le registre SP à une
valeur comprise entre 8006H et
A000H. L'instruction sera : LD
SP,8006H.

Nous venons de parler de l'ins-
truction CALL car l'AMSTRAD
possède un grand nombre de
sous-programmes en ROM qui
seront très utiles lorsqu'on tra-
vaille en langage machine. En
effet, il n'est pas nécessaire de
réécrire toutes les routines
d'entrée-sortie de l'AMSTRAD.

Mais revenons à nos instructions
de transfert vues dans le numéro
précédent. Nous commencerons
par visualiser leurs effets en
jouant avec la mémoire d'écran.
Nous ne reparlerons pas de la
conception de cette mémoire,
mais nous vous conseillons de
relire l'article du numéro 1 de
CPC, dans lequel elle avait été
analysée. Rappelons simplement
que l'adresse du début de la
mémoire d'écran est C000H.
L'AMSTRAD possède trois
modes de visualisation. En mode
2, qui est le mode haute résolu-
tion, chaque point de l'écran est
codé dans la mémoire d'écran
sous forme d'un bit. Nous allons
donc écrire directement dans
cette mémoire d'écran.
Avant d'écrire dans la mémoire
d'écran, il va être nécessaire de
faire passer l'AMSTRAD en mode
2 et de faire un effacement
d'écran.

Le choix du mode se fait par un
CALL à une routine de la ROM qui
a son point d'entrée en BCOEH,
mais avant d'effectuer le CALL,
il est nécessaire de charger le
registre A avec la valeur corres-
pondant au mode désiré (0, 1 , 2}.
Dans cet exemple, nous allons
mettre tous les bits du quaran-
tième octet de la mémoire
d'écran à 1 , c'est-à-dire que nous
allons écrire, dans la case
mémoire d'adresse C028H, la
valeur FFH, soit 255 en décimal.
Le tableau 1 donne la représen-
tation de 255 dans les trois bases
qui nous intéressent le plus.
En binaire (base 2), chaque élé-
ment de la représentation est le

\

128

64

32

16

8

4

2

1

2 7

2 S

T

2*

2 î

2 2

2 1

2"

Binaire 1

1

1

1

1

1

1

1

Hexadéci.

F

F

Décimai

2

5

5

facteur multiplicatif d'une puis-
sance de 2, et les chiffres et 1
sont les seuls utilisés.

En hexadécimal, il faut 16
symboles pour représenter un
chiffre d'où la convention d'utili-
ser les chiffres décimaux (0 à 9)
et les lettres A, B, C, D, E, qui
auront respectivement les valeurs
décimales de 1 0, 1 1 , 1 2, 1 3, 1 4,
15.

Vous voyez maintenant à quoi
correspond 255 en binaire ou en
hexadécimal, nous pouvons donc
l'envoyer à la mémoire écran.
En se reportant au numéro précé-
dent de CPC, il apparaît qu'il n'est
pas possible d'écrire directement
une valeur numérique dans une
case mémoire. Nous allons devoir
mettre d'abord cette valeur dans
le registre A, puis transférer le
contenu du registre A dans la
case mémoire qui nous intéresse.
L'exemple 1 est écrit en respec-

tant la syntaxe de l'assembleur
ZEN. Cet exemple utilise les
directives assembleur analysées
dans un numéro précédent.

Nous aurions pu écrire aussi le
programme de l'exemple 2 qui
effectue le même détail.

Un rappel sur l'utilisation d'un
Assembleur ; il faut tout d'abord,
pour entrer le source de notre
programme, se mettre en mode
édition, ce qui s'obtient avec ZEN
en frappant la lettre E. Pour sor-
tir de l'éditeur, taper un "." en
début de ligne. Notez qu'il ne faut
pas oublier à la fin du source la
directive END. Afin de retourner
à l'Assembleur, notre programme
se termine par un saut au début
de ZEN, par le mnémonique JP
(jump). Pour assembler ce petit
programme, taper la touche A et

ORG

80O0H

LOAD

8000H

SCRSETMOD:

EQU

OBCOEH

ZEN:

EQU

4000H

LD

A,2

CALL

SCRESETMOD

LD

A.OFFH

LD

(OC028HI.A

JP

ZEN

END

Exemple 1

ORG

80OH

LOAD

800H

ZEN:

EQU

4000H

MEMEC:

EQU

0C000H

SCRSET:

EQU

OBCOEH

LD

A,2

CALL

SCRSET

LD

A.OFFH

LD

(MEMEC + 40),A

JP

ZEN

END

Exemple 2

choisissez l'option V. Après
assemblage, vous l'exécuterez
avec la commande G8000H.
Vous voyez alors apparaître un
trait au milieu de la première ligne
de l'écran. Nous vous laissons le
soin de modifier l'adresse où
vous transférez le registre A, ce
qui vous permettra de mettre en
évidence la structure de la
mémoire écran.

Nous allons passer à un autre
exercice, toujours en utilisant les
facilités d'utilisation des routines
de la ROM de l'AMSTRAD. Cet
exercice consistera en l'envoi
d'un message sur l'écran de
l'AMSTRAD. Mais, avant,
envoyons déjà un caractère à
l'écran, après avoir effacé ce der-
nier. L'effacement de l'écran se
fera par l'appel à la routine d'ef-
facement de la fenêtre texte
active dont le point d'entrée est
0BB6CH. Notons, au passage,
que les utilisateurs de CPC 464
trouveront les principaux points
d'entrée de la ROM dans le
manuel SOFT 1 58 disponible
chez AMSTRAD.
Pour envoyer un caractère à
l'écran, celui-ci doit être dans le
registre A et on appelle la routine
TXT OUTPUT dont le point d'en-
trée est 0BB5AH. Dans notre pro-
gramme, nous initialiserons le
pointeur de pile (registre SP). Voir
exemple 3.

Compliquons l'exercice et
envoyons un message sur
l'écran. Cet envoi se fera par l'uti-

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lisation d'une boucle qui appellera
à chaque passage la routine TXT
OUT. Dans le registre A, nous
mettrons successivement les dif-
férents caractères de notre mes-
sage. Nous pointerons ce mes-
sage avec ia paire de registres
HL. Le registre B sera le compteur
de boucle et contiendra le nom-
bre de caractères à afficher. Nous
utilisons, dans l'exemple 4, deux
nouvelles instructions que nous
verrons le mois prochain, lorsque
nous analyserons les instructions
arithmétiques. L'instruction INC
HL ajoute 1 au contenu de HL.
L'instruction DJNZ SORT, sous-
trait 1 au contenu du registre B,
et si le contenu de B est différent
de 0, on retourne à l'étiquette
SORT ; si le contenu de B est égal
à 0, on continue en séquence.
Nous nous retrouverons le mois
prochain pour l'analyse de nou-
velles instructions : les instruc-
tions arithmétiques avec des
exemples utilisant de nouvelles
routines de la ROM, et lorsque
nous aurons vu suffisamment
d'instructions du Z80, nous
commencerons un exercice plus
complexe.

ORG

8000H

LOAD

8000H

TXTOUT:

EQU

0BB5AH

TXTCLEAR :

EQU

0BB6CH

ZEN:

EQU

4000H

LD

SP.9000H

CALL

TXTCLEAR

LD

A,'C

CALL

TXTOUT

JP

ZEN

END

Exemple 3

ORG

8000H

LOAD

8000H

TXTOUT:

EQU

0BB5AH

TXTCLEAR:

EQU

0BB6CH

ZEN:

EQU

4000H

LD

SP.9000H

CALL

TXTCLEAR

LD

HL.MESSAGE

LD

B,9

SORT:

LD

A,(HL)

CALL

TXTOUT

INC

HL

DJNZ

SORT

JP

ZEN

MESSAGE:

DB
END

'BONJOUR'.ODH.OAH

Exemple 4

LE COIN

BIDOUILLE

■

Denis BOURQUIN

€$*%

>us vous donnons ce mois-ci les dessins du cir-
uit imprimé de notre interface série. Rappe-
lons que cette interface se monte sur notre fond
de panier et offre deux sorties dont une sur connec-
teur standard RS232. Les signaux de sortie présents
sur le connecteur RS232 ont été amplifiés par des
émetteurs de ligne et ceux des entrées arrivent sur
des récepteurs de ligne.

Comme pour certaines applica-
tions il n'est pas nécessaire
d'avoir les signaux avec des
niveaux TTL, il est prévu un autre
connecteur de sortie qui pourra
être, par exemple, un connecteur
DIN 5 broches. Les signaux TTL
sortent sur collecteur ouvert et
les entrées sont sur des résistan-
ces de 1 kîï.

Une première application de notre
interface peut être une liaison
avec un terminal MINITEL via sa
prise périnformatique. Le bro-
chage de cette prise est le sui-
vant ; les numéros correspondent
à ceux indiqués sur la prise DIN
5 broches.

1 — RX : réception des données
par le Minitel.

2 — Masse.

3 — TX : émission des données
par le Minitel.

4 — PT : périphérique prêt à tra-
vailler.

5 - TP : terminal prêt (Minitel).

Programma permettant d'acquérir un écran Minitel et de le sau-
vegarder dans un fichier Minrtel.dat.
La liaison est interrompue par l'appui sur ESC,
On dimensionne le tableau A à une taille supérieure au volume
des données à acquérir.

90 '

100 ON BREAK G03UB 230

110 i=l

120 DEFINT a:DIM a<1024>

130 IF (INPl8tFBE5) AND 2)=2 THEN ali)=IN

P (&FBE4) : i = i +1

140 GOTO 130

150 OPENOUT "minitel .dat"

160 FOR j=l TO i

170 PRINT tt9,a< j )

180 NEXT j

190 CLOSEOUT

200 STOP

210 DUT &FBE3,kB6:0UT &FBE2,52:OUT &FBE2

,o

220 OUT LFBE5,8<7A:OUT È^BES,^?

230 END

240 ON BREAK STOP

250 GOTO 150

(

-^

Ce programme envole au Minitel

un fichier acquis précédem- l

2

20 ' ment et le stocke sur dièque sou

le nom Minitel.dat. -

m A

30 '

%*T

40 '

^■J

50 DEFINT a:DIM atl024)

60 i = l

70 OPENIN "minitel.dat"

80 INPUT tt9,a<i)

90 IF EOF THEN GOTO 110

100 i=i+l:G0TO 70

1 10 FOR j = l TO i

120 IF (INP(t:FBE5) AND 1)

-1 THEN OUT 8.FB

E4,a( j )

130 NEXT j

140 CLOSEIN

60 CLSIDEFJNT alDIM a<1024)
70 OPENIN "minitel.dat"

90 INPUT tt9,a(i>

100 IF EOF THEN GOTO 120

tl ne sera pas nécessaire de relier
les broches PT et TP à notre mon-
tage. Nous ne relierons donc que
ia sortie RX de notre montage
avec l'entrée RX du Minitel, ta
sortie TX du Minitel avec l'entrée
TX de notre montage, ainsi que
les masses.

Pour permettre au 8251 de fonc-
tionner normale ment , nous relie-
rons la sortie RTS du 8251
à l'entrée CTS du 8251 dans le
cas où nous n'utilisons pas de
741 88 et 741 89 ; en effet, dans
cet exemple d'utilisation, il n'est
pas nécessaire de les monter.
Dans le cas contraire, nou s reli e-
rons directement la sortie RTS à
i'entrée CTS sur ie connecteur
RS232. Le 8251 ne t rans mettra
des données qui si CTS est à
zéro. Ne pas oublier d'alimenter
le fond de panier en + 12 V et
-12 V en cas d'utilisation du
74188.

Le format des signaux de la liai-
son série avec le Minitel est repré-
senté ci-dessous.

- MINI TTTpT T

* -~~» | STOP

START données parité

La liaison est du type asynchrone
avec 7 bits de données, 1 bit de
parité paire et 1 bit de stop.
La vitesse des échanges est, à fa
mise sous tension, de 1200
bauds dans les deux sens. Cette
vitesse peut être changée et choi-
sie à :
300 - 300
75 - 1200
1200 - 75
75 - 75.

Pour nos essais, nous laisserons
la vitesse de 1 200 bauds, mais
regardons comment programmer
notre interface.

Tout d'abord, programmons ie
8251, en nous reportant au pré-
cédent numéro de CPC. Nous
voyons qu'il faut d'abord envoyer
une commande de sélection de
mode, puis une instruction de
commande.

Pour l'instruction de sélection de
mode, nous choisissons :

— 1 bit de stop,

— génération de parité paire,

— parité valide.

110

i=i+l:GOTO 90

120

FOR j=l TO i

130

IF afj)=kE THEN GOTO 250

140

IF a(j)=klF THEN GOTD 190

150

IF a(j)=&lB THEN j=j+i:GOT0 180

160

IF alj)=E 1 F THEN -fq=0:GOTO 180

170

IF -fg = THEN PRINT CHRS ( a ! j ) ) î

ISO

NEXT j

190

i = j + i

200

IF a(j)>63 THEN y"/. = a < j > -63 ELSE

y%=(

a( j

-4S)*10

210

J=J + 1

220

IF a(j)>63 THEN x7.= a<j)-63 ELSE

yV„=y

%+■ (a( j ) -48)

230

LOCATE x%,y%

240

GOTO 180

250

+ 9=1

260

j=j +1

270

IF a!j)=taF THEN -fq=0:GOT0 190

280

IF s (j)=p,F THEN -fq=0:G0T0 180

290

GOTO 260

— longueur des caractères : 7
bits,

— facteur multiplicatif de la
vitesse de transmission : 16X
soit la valeur binaire

01 1 1 101 OB ou en hexadécimal :

7AH.

Pour le mot de commande, nous

en voyo ns :

— RTS : forcé à zéro.

— remise à zéro de toutes les
erreurs,

— valid ation de la réception,

— DTR forcé à zéro,

— validation de la réception,
soit la valeur binaire 001 1 01 1 1 B
ou 37H en hexadécimal.

Une erreur de numérotation des
figures s'est glissée dans le
numéro précédent ; la figure 3 est

en réalité la figure 4 et inverse-
ment. Le mot de commande est
composé de EH, IR, RTS, ER,
SBRK, DTR, TXEN.
La séquence à effectuer en Basic
pour cette programmation du
8251 est la suivante :

OUT &FBE5.&7A:
OUT &FBE5,&36

Il nous reste à initialiser le 8253
qui devra fournir l'horloge de
transmission au 8251. La fré-
quence de cette horloge doit être
1 200 x 1 6 = 1 9200 Hz, car nous
avons choisi un facteur multipli-
catif de 1 6.

Nous utilisons le timer 2 du 8253
que nous programmerons pour
qu'il génère une horloge avec des
signaux carrés. Nous ie mettrons
donc en mode 3, ensuite nous lui
fournirons la valeur 16 bits du
facteur de division, en deux fois,
en lui envoyant d'abord tes poids
faibles, puis les poids forts. L'hor-
loge appliquée au timer 2 a une
fréquence de 1 MHz ; sa sortie
doit être à 1 9200 Hz et donc le
facteur de division sera de :
1000 000/19200=52,08. Ce
facteur devant être un nombre
entier, nous chargerons donc 52,
ce qui nous donnera une vitesse

IMPLANTATION

JT

Ht

HK

u," ULasrr ■

de 1 201 bauds, ce qui n'est pas
préjudiciable au bon fonctionne-
ment de la liaison.
La séquence en Basic pour initia-
liser le 8253 sera par consé-
quent :

OUT &FBE3,&B6:

OUT &FBE2,52:OUT &FBE2,0

En résumé, la valeur de division
à envoyer au timer est égale à :

1 000 000/(V*F) où V est la
vitesse de transmission, F le fac-
teur multiplicatif commandé au
8251 et 1 000 000 la fréquence
de l'horloge appliquée au timer.
Voici donc maintenant un pro-
gramme permettant d'acquérir
des écrans du Minitel en parallèle
d'une liaison, puis de les stocker
sur disque ou cassette. Le pro-
gramme suivant lit l'écran stocké

sur disquette ou cassette et le
retourne au Minitel. Le troisième
programme est un exemple d'af-
fichage du texte, d'un écran Mini-
tel sur AMSTRAD ; ce pro-
gramme ne traite pas le graphi-
que, ni tous les codes Minitel,
mais respecte malgré tout le posi-
tionnement absolu des caractè-

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1 112

K

JL BANK C
JL BANK D
EPflOM C
EPROUD
SERIE C
SERIE
KFT SERIE
KIT SERVEUR

Tolal

Frais de port . .
total général . .

BON DE COMMANDE

VILLE;

CODE P0STAL:.._

Signature ides parents pour les mineurs)

/

sctrafà

«5/

1^%/n jeu de bataille navale pas comme les
autres : le hasard y a fort peu de place et la straté-
gie son importance.

TRAFALGAR est une bataille
navale, durant laquelle deux
joueurs s'opposent. Le premier
joueur commande la flotte fran-
çaise (navires verts) ; le second
joueur, la flotte anglaise (navires
jaunes). Les deux flottes possè-
dent chacune 1 3 navires.
Le jeu apparaît à l'écran de la
manière suivante :

— en haut à gauche, la carte
maritime où se déroule la
bataille,

— en haut à droite, la rose des
vents qui indique la direction
du vent,

— en bas à gauche, la prise des
instructions,

— en bas à droite, l'indicateur de
tours.

Chaque partie se joue en 100
tours, qui se décomposent
comme suit :

— L'ordinateur choisit au hasard
la direction du vent.

— Le premier joueur indique les
coordonnées (horizontale et ver-
ticale) du navire qu'il désire
déplacer.

— Il indique ensuite la direction
(mouvement) de son choix (Nord,
Sud, Ouest ou Est). C'est à cette
fin que chaque navire dispose
d'un potentiel de déplacement
théoriquement constant et égal à
5. Il se déplace donc de 5
"cases" à chaque tour. Cepen-
dant, le vent influe provisoire-
ment sur ce potentiel.

Le potentiel de déplacement d'un

navire se trouve réduit de 2 si le
vent est contraire au mouve-
ment, et de 1 si le vent souffle
dans une direction perpendicu-
laire ad mouvement. Enfin, si la
direction du vent correspond au
mouvement, le potentiel de
déplacement reste de 5.

— Après s'être déplacé, le navire
tire automatiquement dans la
même direction que le mouve-
ment, et dans elle seule. Inter-
vient alors le potentiel de tir (il
varie de 1 à 6, c'est-à-dire que la
longueur du tir varie de 1 à 6
"cases"). Le potentiel de tir est
repérable au symbole affiché (il
existe 6 types de navires — cf.
programme "SYMBOL"). Cha-
que navire touché par un tir
adverse perd un point de poten-
tiel de tir. Si ce potentiel est infé-
rieur à 1, le navire est considéré
détruit et disparaît de la carte.

— Le tir du navire du premier
joueur terminé, c'est au second
joueur de jouer et de suivre le
même schéma que ci-dessus,
puis le tour se termine et le sui-
vant commence.

Si, avant le 1 00 8 tour, un joueur
a réussi à détruire la flotte
adverse, il est déclaré vainqueur.
Dans le cas contraire, au 100°
tour, l'ordinateur arrête la partie,
additionne les potentiels de tir
des navires restants, et ceci pour
chaque joueur, et déclare vain-
queur le joueur ayant le potentiel
de tir le plus élevé.

!Q ' *** TRAFALGAR ***

15 ' Laurent PIASENTIN

20HQGE 1

30 FOR 1=0 TO 174 STEP 2:M0VE 0+ï.3O0:TA

BifRWT'T N A F A L E A R';:NEIT:TAGOFF

40 LOCATE 26, 1 1 îPSIHT'DE* ïLOCATE 22,14:?

RINT'LAURENT PIASENTIN'

50 FOR ï=100 TO 900 STEP lOCiSOUND 1,1,2

Q.+sSOUND 2.10DO-X.2O,4:50UND 1,1000-1,2

0.4:501™ 2,X,20,4:N£!(T

60 LOCATE 1,24:1* 1, 24 :PfiINT* APPUYEZ SU

R Uf€ TOUCHE S.v.P'iCALL SBB06

70 'f« REGLES ***

80 MODE 2:L0CATE 25, 1 ïPRINT'UN PEU D'HÏS

TOIRE ...■

90 LOCATE l,6:PRÎNT'Le 21 oct. 1805. Nels

on qui commande la flotte anglaise renco

ntre.ncn loin du capde Trafaiqar.Villene

uve nui fait route vers Naples.sur l'ord

re de Saooleon. Nelson engage le ccn

bat. «aïs œeurt aussitôt."

100 PRINT' Cependant la flotte française

est vaincue. et Villeneuve est capture.':

S0SUE 310:LOCAÏE 1.25:PRIMT'APPU¥ES SUR

UNE TOUCHE S.V.P':CALL 4BB06

110 CLS:LOCATE l,lO:INPUT'Apres ce petit

rappel historique. desirez-vous coinaitr
e les règles de Trafalgar E0/N] ";fi£P*
120 fiEPl*=yPPERtiREP*"l : IF REP1*=TP TKEN

280

130 CLS:LOCATE 33.1:PRINT'*« REGLES ***
":L0CA7E 1.3:PRINT* TRAFAL5AH est une b
ataille navale, durant laquelle deux joue
urs s'opposent. Le premier joueur coMan
de la flotte française (navires verts);L
e second joueur, la flotte anglaise (navi
res jaunes),'

140 LOCATE 34, 5: PRINT 'Les deux flottes p
ossedent chacune 13 navires. ':PRINT'Le j
eu apparaît a l'écran de la manière suiv
ante l'iPRINT'- en haut a gauche, la cart
e maritime ou se déroule la bataille.':?
RINT'- en haut a droite, la rose des vent

150 LOCATE 50.B:PRINT*la dire:tion du ve

160 PRINT'- en bas a gauche, la prise des
mstructiDns.'iPRINT'- en bas a droite,
l'indicateur de tours.'iPRlNT'Chaoue par
tie se joue en 100 tours, gui se decompjs
ent comme suit :':PRINT'- l'ordinateur e

170 PRINT'- le premier joueur indioue le
s coordonnées (horizontale et verticale)
du navirequ'il désire déplacer. ':PRÏNT'
- il indioue ensuite la direction (rave
ment) de son choix (Nord, Sud, Ouest ou
Est). C'est a cette fin gue chaque navire

180 LOCATE 42,16:PRlNT'dispose d'un pote
ntieLde déplacement' :PRINT'ttieorique»en
t constant et égal a 5.11 se déplace don
c de 5 'cases' a chague tour. Cependant 1
e vent influe provisoirement sur ce pote
ntiel.*

190 PRINT'Le potentiel de déplacement d'
un navire est réduit de 2 si le vent est

contraire»! mouvement, et de 1 si le ven
t souffle dans une direction perpendicul
aire au mouvement. Enfin si la directio
-' du vent correspond au Kuvewnt,le pot
entiel de'

200 PRINÎ'deplacement reste de 5.":L0CAT
E 1, 25 i PRINT" APPUYER SUR UNE TOUCHE B.V.
P'iCALL &BB06

210 O-SiFfllNT'- après s'être déplace, le
navire tire automatiquement dans la *eme

direction quels mouvement.et dans ellê-
seule. Intervient alors le potentiel de t
ir (il varie de 1 a 6 - c'est a dire qu
e la longueur du tir varie de 1 a 6 'cas
es' -l.Le"
220 PHINT* potentiel de tir est repérable

au symbole affiche. Chaque navire touche

par un tir adverse perd un ooint de p
otentiel de tir. Si ce potentiel est infe
rieur a 1,1e navire es-t considère detrui
t et disparaît de la carte.'
230 PRINT"- le tir du navire du premier
joueur termine, c'est au second joueur de

suivre lememe type de shema pour jouer,
puis le tour se termine et le suivant co
*mencB. '

240 PRINT" Si, avant le lOOeme touf.un j
oueur a réussi a détruire la flotte adve
r-se, il est déclare vainqueur. Dans le cas
pontraire.au lOOeme tour, l'ordinateur ar
rete la partie, additionne les potentie
ls de tir des navires restants, et ceci p
sur chaque'

250 LOCATE l,12tPRIMT* joueur, et ùeclare
vainqueur le joueur ayant le potentiel d
e tir le plus eleve. ' :L0CATE 1,25:PRIHT'
APPUYER SUR LK TOUCHE S.V.P'sCALL &BB06

260 MODE hLOCATE 1,3:PRINT CHP.K143)
RINT" Potentiel de tir: 6':PRINT:PRINT
CHRtt 144) j: PRINT" Potentiel de tirs 5
"iPRIHTsPRINT CriR*il45>::PRINT" Potent
iel de tir: 4":PRINT;PRINT CHRI(14i);iPR
INT' Potentiel de tir: 3'
270 PRINT:PRINT CHR$U47);:PRINT' Pote
ntiel de tir: 2':PaîNT:PRINT CHR*(148)::
PRINT" Potentiel de tir: I"
280 LOCATE 1,24: PRINT 'APPUYER SUS UNE TO
UCHE POUR ENREGISTRER TRAFALGAR" :CALL &B
BOrn

290 RWTRAFALG2'
300 *« DEFINITION SYMBOL ***
310 SYMBOL AFTER 128

320 SYMBOL 129,3,15,31,63,127,255,255.25
5

330 SYMBOL 130,255.127.63,31,63,255,255,
255

340 SYMBOL 131.127.127.255,255,255.255.2
55,255

350 SYMBOL 132,255,127,127,127,127.127,1
27,127

360 SYMBOL 133,127,255,255,255,255.255.2
55,255

370 SYMBOL 134,31,63,63,63,127,127,127,1
27

380 SYMBOL 135,1,1,1,3,7,15,15.15
390 SYMBOL 137,0,0,0,24,24,0,0,0
400 SYMBOL 138.6,6,0,0,0,0,96,96
410 SYMBOL 139,6,6,0,24,24,0,96,96
420 SYMBOL 140,102,102,0,0,0,0,11)2,102
430 SYMBOL 141jl02,I02,0,24,24,0, 102,102
440 SYMBOL 142,102"", 102,0,102, 102,0,102,1
02

450 SYMBOL 143,190,66,231,231,71,226,127
.126

460 SYMBOL 144,64,224,230,230,66,227,255
,126

470 SYMBOL 145,192.76,220,238,78,196,255
,126

480 SYMBOL 146,0,102,34.119,119,162,255,
126

490 SYMBOL 147,0,12,4,206.78,196,255.126
500 SYMBOL 148,0,24,8,23,28,201,255.126
51D SYMBOL 200,0,0,0,1,1,1,1.1
520 SYMBOL 201.3,3,3,7,7,3,3,3
530 SYMBOL 202,3,3,3,7,7,7,7,7
540 SYMBOL 203,0 1 12B,12B,128,!28,192,192
.192

550 SYMBOL 204,192,192,192,224,224,192,1
92,192

560 SYMBOL 205,192.192,192,192,192,192,1
92.192

600 SYMBOL 209,0.0,7,31,255,255.255,255

610 SYMBOL 210.0,0,192,255,255,255,255,2

55

620 SYMBOL 211,0,12,255,255,255,255,255,

255

630 SYMBOL 212,3,145,255,255,255,255,255

,255

640 SYMBOL 213,0,0,0,0,3,15,31,63

650 SYMBOL 214.255,255,255,255,255,255,2

55,255

660 SYMBOL 215,0,6,31,255,255,255,255,25

WD SYMBOL 219,0.192,255,255,255.255,255

.255

630 SYMBOL 221.31.63.255,255.255,255.255

.255

690 SYMBOL 223,128,192,224,255,255.255,2

55,255

700 SYMBOL 225^0,0,0,255,255,255,255.255

710 SYMBOL 227,0,0.0.252,255,255,255,255

720 SYMBOL 229.0.2,7.127,255.255,255,255

730 SYMBOL 235, 63,31,3.1, 31, 31, 255,255, 25

5

740 SYMBOL 236.63,127,255,255,255,255,25

5,255

750 SYMBOL 237,1,3,7,63,127,255,255,255

76D SYMBOL 238,0,0,7.15,47,255,255,255

770 SYMBOL 239,255,127,15,31,255.255,255

,255

7B0 SYMBOL 240,127.127,255,255.255,255,2

55,255

790 SYKBOL 241,255,127.127.63,63,63.63,6

3

B0O SYMBOL 242,24,124,126,126,127,63.63,

63

810 SYMBOL 243,63.63,127,127,63,63,63,63

B20 SYMBOL 244,63,63,63,63,62,2B

830 SYMBOL 245.0,0,0,0,248,254,254,254

840 SYMBOL 246,254,254,252,252,252,254,2

54,254

850 SYMBOL 247,254,254,128,0,0,0,0,0

860 SYMBOL 248.7,15,15,15,7,7,7,7

870 SYMBOL 249,7,15,15,31,31,31,31,31

860 SYMBX 250,31,63,63,127,255,255,255,

255

890 SYMBOL 251,192,192,192,192,192,224,2

24,224

900 SYMBOL 252,224.240,240,240,248,252.2

52,252

910 RETURN

&T-

290 KBREB2=NBREB2*1:IF HB02013 THEN 2
60

300 '

» JEU*

10 ' *** TRAFW.6AH **#

15 ' Laurent P1ASENTIN

20 CLEARiON EREAK 6CSUÏ 2160

30 IWDE 1;INK 2.18:1NK 3.6

40 SOSUB 1790

50 ' M* INITIALISATION *W

60 Din UI16,:6):DIH T(16.26):DIN DU6.26

)

70 FOR 1=1 TO 16

90 FOR Z=l TO 26

90 UII.Z)=C:TII,Z>=Q:DH.Z1=0:NEXT Z,I

100 FÔR 1=3 TO 8:U< 1,26 1=3: NEXT

110 FOR Z=4 TO 26:U(16,Z)=3:NEXT

120 FOR 1=13 TO 26:UU5,Z)=3:NEXT

130 FOR Z=22 TO 26:UU4,Z)=3:N£XT

140 FOR Z=23 TO 2É:I=Z-11:U(13. ZJ=3:U(I.

4}=3:U<I.5)=3:NEXT

150 FOR Z=24 TO 26:I=Z-20:U(12.Z)=3:UU1

,2)=3:U(I,3)=3!UII,4)=3:NÉXT

160 FOR 2=25 TO 26:UI1D.Z>=3;U(9 I Z>=3:NE

XT:U<I1,4)=3:U(11.5>=3

170 T0UR=1:L0CATEI2,4,5:PEN*:,2:PRINTI2,

TOUR

180 ' *" AFFICHAGE NAVIRES ANGLAIS *«

190 NBREB1=Q

200 A=INT(2«RNDil)+n:B=INTi26*RNDiI)+l)

!lF U1A,E>=1 OR U(A.B)=3 THEN 200

210 UIA^MiTMNTGiRNDUl^liTIA.B^T:

01A,B)=5

220 SOSUB ISBOiSOUND 1,1C0.1:K=4+E:V=3+A

:LOCATE H.V:PEN liPRINT CHM(S)

230 NBRËE1=NBR£B1+1:IF NBREB1013 THEN 2

00

240 ' *** AFFICHAGE NAVIRES FRANÇAIS ***

250 NBfiEB2=0

260 A=12+INT<2*RNDI1H1):B=INT(26«I1ND<1)

+H:IF UIA,B)=2 OR U(A,B)=3 THEN 260

270 U<A,B)=2îT=iNT(3*SND(lM>iT!A,B)=T:

BJA,E>=5

280 SOSUB 15B0:S0UND i,100,l:H=4+B:V=3*A

10CATE H.ViPEN 2:PRINT CHR*<S>

310 FOR J0U=1 TO 2

320 ' "• DIRECTION KJ VENT ***

330 DVENT=INTI3.5*RNDfl)+l)

340 LOCATE 36,4:PEN t:PRINT "NVLOCATE 3

2.8:PRINT 'û'iLOCATE Sip^îFPINT'S'îLOCA

TE 40,8:PRINT 'E 1

350 ON DVENT 60T0 360,370.380.390

360 DVENTÏ^N'iLOCATE 36,4:SOT0 400

370 DVENTt^O* :LOCATE 32.8:S0T0 400

380 DVENT*= , B , :LOCATE 36.12:50T0 400

390 DVENTi= , E , :LOCATE 40.8

400 PEN 2:PRINT DV£NT$

410 " *** PRISE DES INSTRUCTIONS **+

420 CLSi3:PEN#3,3:PHINTi3.■ AU JOUEUR N.

■;JOU:'DE JOUER'

430 FOR X=Q TO 2000:NEXT

440 aS#3:PEN*3,3:PRINT#3,' POSITION H

ORIZONTALE'

450 L0CATEi3,13.3:INPUTi3.A

460 SOUND 1.200, 10:IF A<1 OR A>16 THEN 4

40

470 CL5#3:PENt3,3:PHINTi3,' POSITION

VERTICALE"

480 L0CATE!3.i3,3:INPUT»3,B$

490 SOUND t,200.10:Nl=0:Blï=UPPERt(E*):R

ESTORE 2010

500 FOR X=l TO 26

510 READ Mi

520 NI=Ml+l:IF N1$=E1* THEN E=N1 ELSE 54

530 SOTO 550

540 NEKT:GOT0 480

550 IF U(A.E)=Q THEN 440

560 IF U<A.B>=3 THEN 44D

570 IF U<A.B)=1 AND JCHJ=1 THEN 440

5S0 IF U(A,B>=2 AND J0U=2 THEN 440

590 CLS»j:PENK3.3:PHINT#3." rtOUV

EMENT 1

600 lGCATE#3,13,3:INPUT«3.fl*

610 SOUND l,200.10!Mlï=UPP£Rt(HSl

620 IF Hlt='N' THEN F=l :60T0 680

63D IF fli$='S" THEN F=2:G0T0 720

640 IF M*«"V THEN F=3îG0T0 760

650 IF fHl="0" THEN F=4:GOT0 800

660 GOTO 600

670 ' *** POINTS A ENLEVER LORS DES DEPL

ACEfENTS DES NAVIRES ***

680 IF rH«= , N- AND DVENTi^N" THEN VEN7=

D

690 IF «*=■«' AND DVENT*='0" OR DVENTï=

•E" THEN VENT=-1

700 IF mU'H' AND DVENTÏ-'S" THEN VENT=

-2

710 SOTO B40

720 IF H1$="S' AND DVENT*='5' THEN VENT=

730 IF fUM'S" AND DVENT^'O" OR DVENTÏ=

•E' TVEN VENT=-1

740 IF m*='S' AND DVEMTt^N' THEN VENT=

-2

750 GOTO 640

760 IF M^'E" AND DVENTJ^E 1 THEN VENT=

790 SOTO 340

IF ms= , 0' AND DVENT$='

810 IF ÎIH^O' AND DVENT^'N" OR DVENTî=
S" THEN VENT=-1

GO IF Hl^'O 1 AND DVENTts'E" THEN VENÎ=
2

330 ' *** DEPLACEMENT ***
840 AA=A:BB=E:AAÎ=A:EE1=B
850 IF M*="0* OR Hlt="E" THEN 930
B60 ' «* DEPLACEMENT NORD ET SUD ***
870 FOR C=AA1+1 TO AA1+5+VENT
880 IF M*='N* THEN AA=AA-1 ELSE AA=4A-:
B90 IF AA<1 OR AA>16 THEN 990
900 IF UIAA.BB1O0 THEN 990
910 60SUB 1630 :NEXT: SOTO 990
920 ' •** DEPLACErENT OUEST ET EST ***
930 FOR C=BB1+1 TO BB1*5+VENT
940 IF m*="0' THEN BB=BB-1 ELSE BE-Eî+l
950 IF BB<1 OR BB>26 THEN 990
960 IF IHAA,BBK>0 THEN 990
970 SOSUB 1630:NEXT
980 ' **• TIR m
990 ON F GOTO 1000, 1010, 1020,1030
1000 0=-l:PîO:SOTO 1040
1010 0=1:P=0:50T0 1040
1D20 0=0iP=l:GOT0 1040
1030 0=0:P=-1
1040 R=A:U=B:a=0
1050 FOR C=I TO TfR.H)
1060 IF a=i TIEN 1220
1070 A=A+OîE=E+P;IF A<1 OR A>16 OR Kl
R B>26 THEN 1220
1080 IF UfA.B>=3 THEN 1220
1090 IF U!A.B)=0 THEN 1200
1100 ÎF U(A,B)=1 AND J0U=2 OR U(A,B)=2 A
ND J0U=1 T>CN 1220

U1Q IF U(A,B»=I AND J0U=1 OR U<A,B)=2 A
TO J0U=2 T>€N FL=I
1120 T(A,B)=T(A,B)-1

1130 IF T(A.B)=0 THEN UIA.B)=0 AND D(A,I
>=D ELSE 1150

1140 SOUND l,4OO,10O,3,0,0,10:H=4+B:V=3*
AiLOCATE H.ViPRINT * *:SOT0 1210

1150 ' *** AFFICHAGE APRES TIR *»

1160 SOSUB 17D0:H=4*E:V=3+A: LOCATE H,V

1170 IF J0U=2 THEN 1190

1180 SOUND 1,67,10,3:PEN kPRINT CHRt(S)

:SOTO 1210

1190 SOUND 1,67,10,3:FEN 2:PRINT CHRïtS)

:50T0 1210

1200 SOUND I,30,!,3:H=4+B:V=3+A:LOCATE H

.V:PEN 3:PRINT "."iFOR ï=0 TO 300:NE(T:L

OCATE H,V:PHINT ' ■

1210 NEXT C

1220 A=R:B=«

1230 ' h* UN VAINQUEUR I ***

1240 T1=0:T2=0

1250 FOR 1=1 TO 16

1260 FOR Z=l TO 26

1270 IF U(I,Z)=0 OR U(I,Z>=3 THEN 1290

1280 IF U(I,Z>=1 THEN TM1+1 aSE T2=T2

+1

1290 NEIT Z,I

1300 IF T1=0 AND T2O0 THEN 1310 aSE 13

20

1310 CLS«:PB»3.3ïPflINTi3, , LE GAGNANT E

ST LE JOUEUR N.l'îSOTO 1530

1320 IF T1O0 AND T2=0 THEN 1330 ELSE 13

40

1330 aS*3:PENI3,3!PfiINTt3, , LE GAGNANT E

ST LE JOUEUR N.2":50T0 1530

1340 ■ M* FIN BOUCLE JOUEURS •••

1350 NEKT JOU

1360 T0UR=T0UR*1

1370 IF T0UR<=9 THEN 1390 aSE 1380

1380 IF T0UR<=99 THEN 1400 aSE 1410

1390 LOCATEI2,4,5:PEfrt2.2:PRINTI2.T0UR:G

OTO 1420

1400 LOCATE#2,3,5iPEN#2.2:PRINTI2,T0UR:G

OTO 1420

1410 L0CATEI2.3,5:PENI2.2:PRINT#2,TOUR

1420 IF TOUHOIX THEN 310

1430 ' *« FIN DU JEU APRES 100 TOURS **

1440 T1=0:T2=D

1450 FOR 1=1 TO 16

1460 FOR Z=l -TO 26

1470 IF UU,Z)=0 OR UII,Z)=3 THEN 1490

14B0 IF U(I,ZÏ=1 THEN T1=T1+T(I,Z) aSE

T2=T2+TII,Z)

1490 NEÏT Z,I

1500 IF T2)T1 THEN 1520

1510 CLSi3:PEN*3,3:PRINT»3,"LE GAGNANT E

ST LE JOUEUR N.2'îS0T0 I5X

1520 aSiSiPENIS.arPRINTfa/LE SAGNANT E

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1830 FOH X=1D TO 1Ê:L0CATE X,25:PRINT CH
Rî(196+X):NEïT

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1350 LOCATE 1B,24:PRINT CHSJ!215>+CHFï(2
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:LOCATE I.24:PSINT CHF4i219+ï!i+CHRtl221
*X1):NEXT

1B70 LOCATE 29,13:PRINT CHRï(129)
1880 LOCATE 30.17:PflINT CHRt(130)
1890 'OCATE 30,16:PRINT CHR$(240)
1900 X^ -FOR ¥=12 TO I5:X=X-l!L0CATE 30,
YiPRINT IRIU35+X):NEXT
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Ril214):NEXT
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